dimanche 15 octobre 2017

immolation

Il s'immole au lendemain d'une fausse alerte au suicide «Il y a de la misère sociale, parfois à notre porte. Et on n'est pas formé pour y faire face !» A Briatexte, l'heure est à l'abattement au lendemain de la terrible découverte effectuée par les pompiers de Graulhet au premier étage d'une maison située au croisement de la rue du Mourat et de la route des Cabannes. Vendredi à 18 h 40, des voisins donnent l'alerte. De la fumée s'échappe de la maison occupée depuis quelques mois par un nouvel habitant de la commune. Les soldats du feu arrivent très vite sur les lieux et préservent l'intégrité de la structure. Mais en inspectant l'intérieur de la maison, ils arrivent devant la chambre fermée. À l'intérieur, le corps d'un homme de 49 ans. Les pompiers de Lavaur et le Smur arrivent en renfort tandis que les gendarmes sont eux aussi alertés, mais il est trop tard pour sauver le malheureux. La piste du suicide s'impose rapidement, des éléments matériels laissant penser qu'il pourrait s'agir d'une immolation. Autre détail troublant. La victime est connue des pompiers comme des gendarmes qui se sont déplacés quelques heures avant à son domicile. Et pour cause, dans la nuit de jeudi à vendredi, cet homme de 49 ans a appelé les pompiers à 2 h 40 du matin pour signaler qu'une personne avait sauté dans le Dadou à partir du pont, sur la D631. Selon ses déclarations, il faisait un footing nocturne quand il a entendu quelqu'un tomber dans l'eau et a aperçu des bulles depuis le parapet. Il aurait alors sauté dans l'espoir de sauver cet inconnu. En vain. Et aurait appelé les pompiers en renfort, pompiers qui seraient arrivés avec des hommes-grenouilles, sans plus de succès. Cette intervention la nuit précédente a effectivement eu lieu (lire notre édition d'hier). L'homme suivi sur le plan psychiatrique a-t-il voulu tester avec quelques heures d'avance sur son geste fatal le temps d'intervention des pompiers pour être sûr de ne pas être sauvé ? Sa fausse déclaration sur l'inconnu du pont était-elle un appel au secours ? A-t-il été victime d'une hallucination annonciatrice d'un état perturbé ? Personne ne le saura jamais. (...)
https://www.ladepeche.fr/article/2017/10/15/2665556-immole-lendemain-fausse-alerte-suicide.html
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c'est là que l'analyse des rythmes psychiques de la personne peut être d'une grande utilité : on sait déjà qu'elle se trouve dans sa période critique septennale des 49 ans, et au moyen de la date de naissance on saura si la personne se trouve dans son jour critique émotionnel (jour habituel des drames et suicides) ou éventuellement dans un jour critique intellectuel (plus fréquemment problèmes psychiatriques) et qu'alors ... il y a peut-être grand danger surtout s'il y a eu comme ici une alerte préalable... (18h est une "heure pulsions")
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/analyser_25.html

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