mardi 7 février 2017

accident

Arrestation à Aulnay-sous-Bois : le policier plaide le «geste accidentel» Après l'interpellation violente d'un jeune homme lors d'un contrôle à Aulnay-sous-Bois, quatre policiers ont été mis en examen dimanche pour violences volontaires, dont un pour viol. Le gardien de la paix plaide «un geste accidentel». Me Frédéric Gabet est le conseil du syndicat policier Alliance. Dans la nuit de jeudi à vendredi, il s'est rendu à l'IGPN (inspection générale de la police nationale) pour assister le gardien de la paix de 27 ans soupçonné d'avoir volontairement introduit une matraque télescopique dans le rectum du jeune Théo. Ce policier a intégré la fonction publique il y a quatre ans. Il a été affecté à Aulnay, puis dans la brigade spécialisée de terrain (BST), une unité confrontée quotidiennement aux violences des cités. Me Gabet dresse le portrait de «quelqu'un de calme et plutôt éduqué» et maintient qu'il «n'y avait pas d'intention de commettre un viol». Les autres agents n'auraient «pas vu ce qui s'était passé» Il plaide le «caractère accidentel» du geste et explique que la juge d'instruction qui a mis son client en examen n'a pas pu visionner la vidéo de la police municipale qui a capturé les faits : «Elle n'a pas pu ouvrir les fichiers !» Dimanche, le JLD (juge des libertés et de la détention) a placé le fonctionnaire sous contrôle judiciaire très strict. Il ne peut plus exercer son métier et est interdit de séjour en Seine-Saint-Denis. Les trois autres fonctionnaires, âgés de 24, 28 et 36 ans, sont soupçonnés de violences volontaires en réunion et ont été eux aussi suspendus. Deux d'entre eux ont été titularisés il y a un an. Même le plus âgé des quatre est une fraîche recrue : il est devenu policier sur le tard et a intégré la BST il y a deux ans. Selon leurs avocats, ces hommes n'auraient «pas vu ce qui s'était passé». Me Pascal Rouiller, qui défend le plus jeune, indique qu'il n'était pas armé : «Il a ceinturé à mains nues le jeune pour qu'il soit menotté. Il ne comprend pas comment il a pu être blessé comme ça.» Me Daniel Merchat, avocat du policier de 36 ans, explique que, en tombant au sol avec Théo, son client «a actionné sa gazeuse et s'est gazé lui-même». Le Parisien Sur le même sujet
http://www.leparisien.fr/faits-divers/arrestation-a-aulnay-sous-bois-le-policier-plaide-le-geste-accidentel-07-02-2017-6661170.php
==========

geste "accidentel"(?!) ... je ne m'étais apparemment pas trompé lorsque je posais la question de savoir si les policiers se trouvaient en période ou jour de désinhibition... (les épisodes de pulsions/désinhibition de nos rythmes et cycles peuvent, en cas de tensions, contribuer à libérer momentanément notre "Hyde"...) http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2017/02/derapage.html   (deux policiers en périodes critiques septennales des 28 ans et un troisième à l'issue de sa période critique des 35 ans) celui de 24 ans en année P1). il conviendra encore de regarder la situation des rythmes courts de chacun car on pourra probablement y trouver d'autres éléments désinhibiteurs sous la forme de jours ou d'épisodes critiques des rythmes courts...


http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/pulsionsdesinhibition.html

Aucun commentaire: