vendredi 20 janvier 2017

suicide

Un suicide raté se termine par un meurtre  On en sait maintenant davantage sur ce qui a mené la Sûreté du Québec à passer les menottes à un homme de 68 ans dans la nuit de mercredi à Clarendon, dans le Pontiac, à la suite du décès d’un individu de 50 ans.  Selon ce qu’a appris une poignée de journalistes, Darwin Zimmerling, la victime dans cette tragique histoire, aurait tenté de mettre fin à ses jours, vers 3h, à l’extérieur de sa résidence de la 4e concession. Il venait de passer une soirée passablement arrosée avec son ami, Brian Brownlee. Après s’être infligé une importante blessure à l’aide d’une arme à feu, le père de famille aurait exhorté son bon ami à l’achever pour mettre fin à son insoutenable souffrance, demande à laquelle ce dernier aurait acquiescé. Brownlee aurait par la suite mis le cadavre dans la boîte de sa camionnette dans le but de se rendre à l’hôpital, mais aurait changé d’idée pour plutôt contacter les policiers, a-t-on appris. Il aurait été arrêté sur place à l’arrivée des services d’urgence. Le résident de Clarendon a brièvement comparu jeudi midi au palais de justice de Gatineau. Deux membres de sa famille étaient présents dans la salle d’audience pour le supporter. Il est accusé de meurtre non prémédité. Le Directeur des poursuites criminelles et pénales s’est opposé à ce qu’il soit remis en liberté. C’est le Service des enquêtes sur les crimes contre la personne de la SQ qui est chargé de faire toute la lumière sur cette affaire qui ébranle ce secteur généralement paisible. Le prévenu sera de retour en cour le 13 février prochain. D’ici là, son avocat, Me Marino Mendo, étudiera la preuve reçue jusqu’à maintenant. Bien qu’il n’écarte pas totalement la possibilité, il n’entrevoit pas demander à ce que son client subisse une évaluation psychiatrique afin de déterminer s’il est apte à subir son procès. Brian Brownlee est sans antécédent judiciaire.
http://www.journallarevue.com/faits-divers/justice/2017/1/19/un-suicide-rate-se-termine-par-un-meurtre-.html
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(période critique septennale des 49 ans pour la victime - rythmes courts des deux personnes à voir)

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