vendredi 8 mai 2015

accident de Sierre

Drame de Sierre: deux parents recourent au Tribunal fédéral
Deux parents ont contesté la décision de la justice valaisanne de clore le volet pénal de l'affaire. Le TF doit se prononcer.
Le recours déposé par onze parents de victimes de l'accident de car belge à Sierre (VS) contre le classement de la procédure pénale finira au Tribunal fédéral. Deux d'entre eux ont contesté la décision de la justice valaisanne de clore le volet pénal. En mars dernier, le Tribunal cantonal valaisan a estimé que le décès du chauffeur lors du drame dispensait «d'investiguer plus». Selon lui, la thèse du suicide défendue par onze parents d'enfants décédés ne pourrait «jamais déboucher sur une condamnation pénale».Insatisfaits par cette décision, deux parents concernés ont contesté le classement et ont saisi le TF. Le verdict définitif des juges fédéraux, confirmant ou annulant la décision de classement, ne devrait pas tomber avant plusieurs mois. Pour le Ministère public valaisan, les seules causes envisageables de l'accident sont en relation avec le chauffeur. Il peut y avoir eu malaise ou inattention de sa part. Comme il est décédé lors de l'accident, l'instruction ouverte pour homicide par négligence et lésions corporelles par négligence a été classée le 30 juin 2014. Pathologie coronarienne Lors de l'instruction, des expertises ont montré que le chauffeur, âgé de 34 ans, souffrait d'une pathologie coronarienne. Aucun élément concret n'a cependant permis d'imputer à cette pathologie une éventuelle défaillance du conducteur. Le chauffeur prenait un antidépresseur contenant de la paroxétine, laquelle peut favoriser une pulsion suicidaire en début de traitement. Mais le conducteur prenait ce médicament depuis deux ans et la dose standard avait été diminuée de moitié au début 2012 en vue d'un arrêt complet. Le médecin traitant du chauffeur a aussi précisé qu'il n'avait aucune raison de penser que son patient était suicidaire. Le procureur valaisan a donc écarté cet élément comme cause possible du drame. L'accident de car était survenu le 13 mars 2012. Il avait fait 28 victimes dont 22 enfants. Le véhicule a percuté une paroi du tunnel autoroutier. Il transportait deux classes des villes flamandes de Lomme et d'Heverlee et leurs accompagnants, qui revenaient d'un séjour de sport d'hiver dans le val d'Anniviers. (ats/Newsnet)
http://www.24heures.ch/suisse/Drame-de-Sierre-deux-parents-recourent-au-Tribunal-federal/story/28432313

================

j'avais aussi pensé à un suicide... compte tenu des éléments cycliques présents...
on peut d'ailleurs comparer la situation cyclique du co-conducteur du car avec celle du co-pilote de l'A320 de la Germanwings... les deux personnes ayant eu des problèmes de dépression, prenant des antidépresseurs, et se trouvant en période critique septennale, dans ou à côté d'un jour critique intellectuel... :

chauffeur :
13 mars 2012 21h15 (17/03/1977)
Ve 9 P(12)
Sa 10
Di 11
Lu 12 I(9)
Ma 13
Me 14 P(17)
Je 15 P(18) E(15)

pilote :
24 mars 2015 9h41 (18/12/1987)
Ve 20 E(15)
Sa 21
Di 22
Lu 23
Ma 24 I(26)
Me 25 P(1)
Je 26
Ve 27 E(22)

nous avons la présence d'un jour critique intellectuel (fort i9) la veille de l'accident de Sierre, et i26 le jour-même du crash de l'avion. le jour critique intellectuel est un jour critique du cerveau.

(l'entrée, mardi soir, dans le jour critique physique P17 du chauffeur reste à étudier - comme faisant partie de l'important "down" P18/P19... mais là je manque de données)

le chauffeur de bus se trouve à quatre jours de son 35ème anniversaire (proximité anniversaire) 
(élément "dépression")
et dans sa période critique septennale des 35 ans)
le pilote se trouve à l'entrée dans sa période critique septennale des 28 ans.
(éléments "dépression")
(éléments dépression, mais aussi désinhibition...)

Aucun commentaire: