accablant

Les conclusions sans appel de Philippe Boxho, médecin légiste, à propos de Véronique Piroton: "Il y a eu strangulation" Le rapport du médecin légiste qui a examiné le corps de Véronique Piroton est accablant pour Bernard Wesphael. Car les diverses lésions observées sur le corps de la jeune femme ne peuvent pas avoir été faites accidentellement ni à cause des manipulations des secouristes estime-t-il. « On ne fait pas ça tout seul », dit Philippe Boxho, patron des légistes liégeois. « Je ne vois pas comment elle aurait pu se faire ça toute seule ». Car si Véronique Piroton s’était posé seule le sac en plastique sur le visage, elle n’aurait pas eu toutes les lésions observées sur elle. «J’ai eu à observer des milliers de cas, mais ça, je n’ai jamais vu », insiste M. Boxho. A propos de certains de ces lésions, on a évoqué de possibles difficultés lors de l’intubation. « Pas autant de lésions, rétorque le légiste. Cela voudrait dire qu’on a essayé de l’intuber 5, 6, 7 fois. Ces lésions ne sont pas dues à l’intubation mais à des pressions dans le cou ». Même constat à propos des blessures dans la bouche que d’aucuns attribuent toujours à l’intubation. Là encore, le légiste est formel : ce n’est pas possible. « Pas autant, dit-il. Les lésions sont dues à des pressions ». Enfin, l’argument selon lequel il n’y avait pas de trace d’ADN sur le sac en plastique est aussi balayé par Philippe Boxho. « Un sac en plastique est une surface lisse. Il n’y a aucune raison qu’il y ait des traces ». La conclusion du médecin légiste est donc claire : il y a eu strangulation. Il demande la constitution d’un collège d’experts afin d’amener des éléments objectifs devant le tribunal. Source : Sud Info le 22 octobre 2014
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18916&st=75&hl=

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 Bernard Wesphael, né à Waremme le 25 septembre 1958. soupçonné d'avoir assassiné son épouse, Véronique Pirotton, dans un hôtel d'Ostende la soirée du 31 octobre 2013.
Née le 24 mars 1971 à Rocourt et décédée le 31 octobre 2013 à Oostende à l'âge de 42 ans.
compatibilité des périodes critiques septennales (56 et 42 ans) et du jour critique émotionnel (mercredi/jeudi)


octobre 2013 (25/09/1958)(55 ans et un mois - entrée période critique septennale des 56 ans et proximité anniversaire)(jour doublement critique le 31 octobre : physique P1 et émotionnel E22)
Ma 29
Me 30
Je 31 P(1) E(22) 
Novembre 2013
Ve 1
Sa 2
Di 3


octobre 2013 (24/03/1971)(42 ans et 7 mois - période critique septennale des 42 ans)
Ve 25
Sa 26
Di 27
Lu 28 P(12) I(17)
Ma 29
Me 30 E(22)
Je 31 
Novembre 2013
Ve 1
Sa 2