samedi 27 novembre 2010

pourquoi plus de drames en période critique ?

pourquoi plus de drames en période critique septennale ?

la période critique septennale est une période lors de laquelle notre sensibilité est accrue : nous sommes plus sensibles mais, de ce fait, aussi plus fragilesune situation ou un événement qui d'ordinaire ne nous pose pas trop de problèmes ou de soucis ou nous préoccupe dans les "dimensions du raisonnable", eh bien si cet événement survient en période critique, ou encore s'il persiste voire s'aggrave lorsqu'arrive une période critique septennale, nous aurons bien plus de mal à supporter et assumer cette situation.

la survenance d'une période critique septennale peut alors entraîner diverses conséquences comme par exemple la mise en marche d'un mécanisme psychique (lié aussi à la dépression septennale) qui fait que l'on se retrouve momentanément chaussé de lunettes grossissantes : nos problèmes de tous ordre vont prendre un aspect démesuré et absolument insoluble alors que cela n'est pratiquement jamais le cas...

certaines personnes peuvent alors se croire malades et paniquer, mais aussi, en raison de perturbations psychologiques, dans les cas extrêmes, passer à des actes de désespoir gravissimes comme un suicide, celui-ci leur semblant être la seule solution qui leur reste, du fait de leur situation de désespoir à ce moment-là.
une séparation conjugale, un endettement, des problèmes au travail peuvent alors prendre, dans notre esprit, des dimensions gigantesques et finir par entraîner un drame conjugal ou un drame familial...

les passages à l'acte en période critique septennale peuvent être particulièrement graves et "odieux" (meurtres et infanticides, coups de folie suite à accès de colère/rage, p.ex.) du fait non seulement d'un effet de pulsions présent à ce moment là, mais aussi d'un effet de désinhibition qui va venir perturber la perception de la gravité des actes et faciliter le passage à l'acte.

plutôt à ce moment-là qu'à un autre : en cas de scénario dramatique, un "effet déclencheur" va se produire au moment de l'arrivée d'une période critique : ainsi un sujet de préoccupation peut exister et nous préoccuper un moment, voire longtemps, mais la personne hésitera, il ne se passera rien... et c'est lorsqu'arrive l'épisode période critique que celui-ci va faire sauter les barrières... c'est par exemple ainsi qu'un suicidaire aura tendance à avoir des envies de suicide mais ne passsera pas à l'acte... sauf lorsqu'il va entrer dans un jour critique émotionnel ou une période critique septennale. de même pour le désespéré qui envisage d'en finir en emmenant toute sa famille... le passage à l'acte va être mis en marche et  facilité par la survenance à un moment donné d'un déclencheur tel que jour ou période critique. c'est un peu ce qui explique pourquoi maintenant... pourquoi à ce moment-là plutôt qu'à un autre... et c'est ce qui explique la présence  plus fréquente (d'après mes constatations) d'un jour ou d'une période critique lorsqu'arrive un drame.

un second et important élément "à risque" est aussi le jour critique émotionnel (il est hebdomadaire) : il se passe ce jour-là la même chose, que ce que je viens de décrire ci-dessus pour la période critique septennale. il s'agit donc d'une période critique équivalente mais courte puisqu'elle dure l'espace d'une journée.
 
nous avons donc :
 
- une journée de sensibilité plus importante par semaine (toujours le même jour, le jour de notre naissance du fait qu'il s'agit d'un cycle probablement hormonal à pulsations tous les sept jours) :  les passages à l'acte divers ont tendance à arriver plus ce jour là (ou le jour à côté) que d'autres.
 
- une période de sensibilité plus importante chaque septième année de notre vie : les passages à l'acte divers ont tendance à plus arriver durant cette période qu'à d'autres moments.
 
noter encore que le jour critique émotionnel étant hebdomadaire il va fonctionner durant six années en période neutre et sera combiné la septième année à la période critique septennale : c'est alors un jour sensible dans une période sensible, et cela va considérablement contribuer à augmenter l'effet et le risque.

il arrive aussi qu'un passage à l'acte soit différé et arrive au-delà de la période critique si la personne parvient à se maîtriser durant un moment : il faut alors chercher en amont le point de départ du mécanisme et l'on trouvera probablement un "démarrage" des problèmes dans la période critique qui précède.


d'où une mise en garde que l'on devrait faire, au sujet des mécanismes qui peuvent (ce n'est pas systématique, heureusement) se mettent en route à l'occasion de la survenance d'une période critique septennale afin qu'on les prenne en compte. j'ai remarqué et déduit tout cela à force d'observer les faits divers de l'actualité, mais la science devrait s'intéresser à ce phénomène pour l'examiner : il explique de nombreux "changements d'état" et de nombreux passages à l'acte dramatiques, ceux-ci ayant un lien avec l'entrée ou le séjour en période critique septennale ou jour critique émotionnel. et surtout... les périodes à risque sont connues A L'AVANCE...

Aucun commentaire: