vendredi 5 novembre 2010

Francis Leroy

http://www.lexpress.fr/region/la-face-cachee-du-gentleman-farmer_458479.html
Cinq ans de terreur

1er décembre 1978.
A Bergerac, séquestration d'une famille durant six heures. Leroy se sauve avec 500 francs en liquide, une montre, une chaîne en or et un briquet de luxe.
28 novembre 1980.
A Bergerac, même type d'agression. L'homme promet de partir si l'on met à sa disposition un véhicule pour, dit-il, «fuir en Espagne». Il dérobe de l'argent et disparaît en oubliant la voiture.
23 avril 1981.
Douville, la victime, qui garde ses neveux, parvient à alerter le voisinage. L'agresseur prend la fuite.
26 septembre 1981.
A Bergerac, Leroy enlève une fillette de 11 ans, la viole dans un bois, puis la ramène chez elle.
10 octobre 1982.
Il s'introduit de nouveau dans la chambre de la fillette. Surpris par sa mère, il agresse celle-ci à son tour et la viole.
26 août 1983.
A Lamonzie-Montastruc, séquestration d'une famille. L'homme, masqué, file en abandonnant son arme et son fameux poncho ciré.
22 décembre 1983.
A Villeneuve-sur-Lot, Leroy réveille un couple, réclame de l'argent et une voiture. Il partira encore sans la prendre, après avoir dicté un texte incohérent à la jeune femme: «Vive les vacances, vive la liberté, vive les voyages!»
24 janvier 1984.
Lembras, séquestration d'une famille. Un ami, Jacques Royère, surprend le malfaiteur, qui le tue de sept coups de couteau

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http://www.lexpress.fr/region/la-face-cachee-du-gentleman-farmer_458479.html
"Guy Penaud, qui mène l'interrogatoire, obtient des éléments de réponse: «Leroy m'a raconté qu'il avait une maîtresse du côté de Villeneuve-sur-Lot. Un peu avant d'arriver chez elle, à hauteur de Bergerac, il lui téléphonait pour demander s'il pouvait passer. En cas de refus, il roulait sans but, dans un état second. C'est là qu'il commettait ses agressions.»

l'envie d'aller voir sa maîtresse étant souvent liée à des pulsions, nous pouvons les retrouver en regardant la position des cycles lors des différentes agressions...
je n'ai pas trouvé de date de naissance, mais les pulsions se répétant cycliquement il suffit parfois de prendre comme un point de départ la date d'un premier incident : on peut ensuite recouper avec les dates suivantes et voir si elles correspondent aux mêmes cycles. cela a bien l'air d'être le cas ici.
avec les renseignements que j'ai pu trouver (pas de date de naissance pour l'instant)
mais naissance année 1943
et les "passages à l'acte" que je connais, çà nous donne :
le 29 juin 1961 est un jeudi (effectivement la pleine lune c'était le 28)
le 1/12/1978 est un vendredi
le 28/11/1980 est un vendredi
Le 23/04/1981 est un Jeudi
Le 26/09/1981 est un Samedi
Le 10/10/1982 est un Dimanche
Le 26/08/1983 est un Vendredi
Le 22/12/1983 est un Jeudi
Le 24/01/1984 est un Mardi

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édit 20/05/2017 : né le mardi 24 décembre 1940 (Faites entrer l'accusé)
et les situations :
le 1/12/1978 est un vendredi - veille de P12 trois semaines avant anniversaire 38
le 28/11/1980 est un vendredi - jour neutre mais trois semaines avant anniversaire 40
Le 23/04/1981 est un Jeudi - veille de P12
Le 26/09/1981 est un Samedi - P6
Le 10/10/1982 est un Dimanche - P17 - période critique septennale des 42 ans
Le 26/08/1983 est un Vendredi - lendemain de i9 - période critique septennale des 42 ans
Le 22/12/1983 est un Jeudi - P18 - proximité anniversaire 43 - période critique septen. des 42 ans
Le 24/01/1984 est un Mardi - jour critique émotionnel E1 veille de P6 - un mois après l'anniversaire 43 sortie de la période critique septennale des 42 ans (meurtre du jour critique émotionnel E1)


meurtre et agressions précédents :
29/06/1961 - P18 lendemain de i1 à six mois de l'anniversaire - période critique septen. des 21 ans
11/02/1962 - jour neutre - période critique septennale des 21 ans
24/03/1962 -  jour neutre - période critique septennale des 21 ans

éléments présents par ordre de fréquence :
jour critique physique (7 fois sur 11) (6 sur 8 pour Bergerac : Leroy semble être un "acteur" du jour critique physique.) 
période critique septennale (7 fois sur 11) 
rythme semestriel (5 fois sur 11)
(inhabituel : le jour critique émotionnel apparaît une fois et pourrait en partie expliquer la violence du jour du meurtre - P18 aussi est un équivalent du jour critique émotionnel)

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