vendredi 31 octobre 2008

accident

20minutes.fr :
La mère et son bébé intoxiqués

Une émanation de sulfure d'hydrogène (H2S) est à l'origine de la mort d'une femme d'une trentaine d'années et de son bébé, le 3 octobre à Marseille, selon les premiers rapports d'expertise, a-t-on appris hier auprès du parquet. Des investigations dans l'appartement et les parties communes sont toujours en cours pour déterminer d'où provenait ce gaz, considéré comme un poison puissant.Le H2S, à l'odeur d'oeuf pourri, peut s'accumuler dans les réseaux d'assainissement. C'est le père de famille, en rentrant dans leur appartement du 11e arrondissement, vers 18 h, qui avait fait la macabre découverte et avait averti les secours. La piste d'une fuite de monoxyde de carbone avait été écartée, les prélèvements effectués n'ayant révélé aucune trace de ce gaz.
- ©2008 20 minutes

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je suis suspicieux lorsque je lis dans un autre article que la mère a 27 ans... (c'était plutôt jeudi 30 octobre je crois bien ? - et non le 3)

bébé ébouillanté

laprovence.com :
Bébé ébouillanté : la thèse de l'accident
Publié le vendredi 31 octobre 2008 à 10H26

Le petit Killian, ce bébé de 18 mois décédé la semaine dernière des suites de graves brûlures subies dans son bain à Beaucaire (Gard), aurait été victime d'un accident plutôt que de violences volontaires.

"Nous avons vérifié que le chauffe-eau pouvait générer de l'eau à 78º en quelques secondes. Et les légistes sont formels, cela a suffi à occasionner de si graves blessures", déclarait, hier, le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli.

Sans exclure définitivement la thèse de l'acte intentionnel, il confirmait privilégier celle de la négligence accidentelle due à "l'immaturité et l'incapacité d'être mère" de cette jeune fille de 21 ans, sans activité professionnelle et aux "conditions de vie précaires". Mais il reste très prudent, d'où la prolongation de garde à vue de la mère et du concubin, et l'ouverture probable, aujourd'hui, d'une information judiciaire pour homicide involontaire. Car plusieurs personnes, s'exprimant sur internet, ont dénoncé des violences et des bleus sur le corps de l'enfant.

"Les services sociaux ont effectué une enquête suite à un signalement anonyme au 119 (nºvert pour l'enfance maltraitée, ndlr). Il en ressort un climat de violence entre les parents de l'enfant, séparés depuis, et une hygiène parfois défaillante, mais rien sur un danger imminent pour l'enfant nécessitant un signalement au parquet", poursuit le magistrat.

Reste à comprendre comment une mère a pu immerger son fils sous une eau dont elle n'avait pas testé la température au préalable et sans même tourner le robinet d'eau froide. Elle qui n'a pas la moindre trace de brûlure, devra certainement un jour s'expliquer devant un tribunal.

Aveline Lucas

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la mère se trouve en pleine période critique septennale.
l'observation de la situation biorythmique mère et bébé permettrait d'en savoir encore plus sur l'état physique et psychologique de tout le monde au moment du drame : jour critique physique et/ou émotionnel de la maman mais aussi du bébé ?

(un jour critique physique la mère peut faire une erreur, un accident, un jour critique émotionnel elle peut être en colère... un jour critique physique un bébé peut être mal et/ou pleurer beaucoup, idem son jour critique émotionnel).

risquées, les tentatives...

Nouvel accident à un passage à niveau
Source : La Voix du Nord
31/10/2008 |
Selon La Voix du Nord, une voiture a été percutée par un train de fret sur un passage à niveau à Montigny-en-Gohelle (Pas-de-Calais), hier soir vers 23H40.

Le conducteur, un homme de 28 ans, est parvenu à s'extraire de son véhicule juste avant la collision, mais a été heurté par la voiture lors du choc. L'homme a été projeté dans un fossé et gravement blessé.

Il pourrait s'agir d'une tentative de suicide. Une enquête a été ouverte.

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lors de la période critique septennale on peut effectivement avoir envie de se suicider lors d'un down : il faut croire qu'au dernier moment et face à la mort on a un flash qui nous fait changer d'avis...
çà ne marche pas toujours : la mère de famille qui s'était volontairement engagée sur le passage à niveau avec ses deux fillettes à bord a apparemment aussi essayé de faire marche arrière. hélas bloquée par la barrière baissée entretemps elles y sont restées tous les trois...
il faudrait accorder une attention toute particulière aux dépressions septennales... qui ne sont pas des dépressions "ordinaires"...

dans le coffre

spiegel online :
Mann versteckt Leiche im Kofferraum
Familiendrama in Leverkusen: Ein 42-Jähriger steht im Verdacht, seine 38 Jahre alte Frau getötet und ihre Leiche im Kofferraum seines Wagens versteckt zu haben. Ein Bekannter gab der Polizei den entscheidenden Hinweis.

Leverkusen - Die Polizei entdeckte den Mann in der Tiefgarage seines Wohnhauses, als er sich offenbar das Leben nehmen wollte. Er wurde festgenommen.

Wie die Frau zu Tode kam, ist noch unklar. Die Polizei gehe jedoch von einem Gewaltverbrechen aus, sagte eine Polizeisprecherin am Freitag. Erste Obduktionsergebnisse würden im Laufe der kommenden Tage erwartet. Zu den Hintergründen der Tat gebe es noch keine Erkenntnisse.

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c'est l'âge septennal : à 42 ans il tue son épouse lors d'une altercation, et se blesse lui même en voulant se suicider. l'épouse a été retrouvée dans le coffre de sa voiture, et l'individu hospitalisé...

jeudi 30 octobre 2008

récidive septennale

site 3ème oeil :
En 1992, elle tue son premier mari, 13 ans plus tard, elle réitère ce geste sur le second

" Une première dans les annales judiciaires de l’île de La Réunion. Reconnue coupable de meurtre en état de récidive légale, elle a été condamnée à 20 ans de réclusion criminelle.

En octobre 2004, Frédéric Angama, 22 ans, rencontre Ghislaine Arzac, 40 ans, à l’occasion d’une dispute avec l’un de ses fils : Frédéric s’interpose, tel le sauveur. Une relation se noue et pendant un an, le couple s’entend bien. Tous deux partagent des points communs : l’alcool, le zamal et un lourd passé judiciaire, car Frédéric Angama a lui aussi déjà été condamné à sept ans de prison pour viol. Pourtant, rapidement, la relation dérape, les disputes se multiplient et le couple sombre dans la violence et les humiliations avec, pour en finir, ce drame au soir du 16 septembre 2006 à Saint-Louis.

“Alors seulement, je me suis sentie légère »

Comment cette mère de famille de douze enfants, déjà condamnée à 10 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de son premier époux Andréus Arzac en 1992, en est-elle arrivée à reproduire le même geste ? Encore aujourd’hui, Ghislaine Arzac ne comprend pas. Et c’est perplexe, limite hagarde, qu’elle décrit avec précision à la cour les faits : « Je ne peux pas expliquer ce drame. Je reconnais que j’ai tué Frédéric. Je dois payer, mais personne n’était dans mon couple pour voir ce que je subissais ». Effectivement, selon ses dires, son concubin n’offrait pas le profil du prince charmant, il s’en faut de beaucoup. Son quotidien n’était que coups et humiliations. Des injures d’une méchanceté telle qu’elle a fini par craquer et le tuer. « La veille, on a eu une grosse dispute. Il m’a giflée et injuriée disant que je sentais la mort, que mes enfants étaient des bâtards… Il m’a renvoyé au visage mon passé, me traitant de meurtrière, m’accusant d’avoir couché avec mon fils. Ma tête était comme une marmite en train de bouillir. Au petit matin, j’ai pris le fusil, j’ai vérifié que la seule balle du chargeur était pleine. Je me suis approchée de lui alors qu’il dormait sur le lit, j’ai visé sa nuque et j’ai tiré. Il a eu un sursaut. J’ai entendu le sang couler et j’ai compris qu’il était mort. J’ai recouvert son corps du drap. Alors seulement, je me suis sentie légère », explique Ghislaine Arzac, froidement. L’acte a donc été réfléchi. Aucune place n’a été laissée au hasard. L’idée du geste « impulsif » qui l’avait sauvée lors de son premier procès en novembre 1993 ne peut tenir ici. Pour seule défense, alors qu’elle a reconnu les faits, l’élément qui peut sauver Ghislaine Arzac de la réclusion criminelle à perpétuité, l’unique carte qu’elle a encore en main reste son passé plus que chaotique. Un point sur lequel s’est appuyé son conseil, Me Mickaël Nativel, dans sa plaidoirie. D’après les expertises psychologiques, ses passages à l’acte peuvent être expliqués par son vécu. « À chaque fois, le drame est survenu à la suite d’une accumulation de souffrances et d’humiliations. Ce n’est pas une tueuse en série, loin de là. Elle est réadaptable », explique l’expert psychiatre. Sans repères, sous l’emprise de son passé, elle n’a pas supporté que celui qui lui avait tout donné finisse par la traiter comme une moins que rien.

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Un article de Vanessa Hoarau.

Source : CLICANOO.COM (30 octobre 2008)

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on ne trouvera pas d'explication tant que l'on ne prendra pas en compte le cycle psychique et émotionnel et ses périodes critiques septennales :
- en 1992 lors du premier meurtre la personne se trouvait dans sa période critique septennale des 28 ans.
- lors du second meurtre, en 2006, la personne se trouvait dans sa période critique septennale des 42 ans.

marc

Nouvelobs :
Le calvaire du petit Marc décortiqué dans la douleur aux assises du Nord
AP | 29.10.2008
Au troisième jour du procès de l'affaire du "petit Marc", la cour d'assises du Nord a examiné mercredi l'enchaînement des sévices subis par le garçonnet de cinq ans pendant les semaines qui ont précédé sa mort en janvier 2006.

"Je l'ai tué, je l'ai massacré. Je ne sais pas pourquoi. Je mérite la mort", a fini par lâcher d'une voix tremblante le principal des neufs accusés, David Da Costa, 38 ans, le beau-père de l'enfant, retrouvé sans vie à son domicile d'Auby le 25 janvier 2006.

C'est lui qui est accusé d'avoir fait subir un véritable calvaire au petit Marc pendant près de six de semaines. Calvaire méticuleusement et chronologiquement repris par le président Michel Gasteau: des premières traces de coups apparues lors d'un week-end à la mer, fin décembre 2005, alors que David Da Costa était resté seul un moment avec l'enfant, jusqu'aux rouades quasi-quotidiennes et de plus en plus violentes, au mois de janvier 2006.

"Vous le traitiez de bâtard, d'enculé, de fils de pute", rappelle le président à l'accusé, resté silencieux durant tout le déroulé des faits. "Le 8 janvier", se rappelle la mère, "je ne sais plus pourquoi, Marc s'est retrouvé par terre. Et M. Da Costa s'est mis à lui donner des coups de pied, sans s'arrêter".
Selon l'enquête, il est probable que c'est ce jour que les bourses du petit ont enflé, à tel point qu'elles finiront par éclater.

Un malaise a saisi la salle lorsque la cour a examiné les photos de l'enfant prises par les enquêteurs le matin où il a été retrouvé mort. Le garçonnet y apparaît couvert d'hématomes sur tout le corps, la tête boursouflée et bleuie, les bourses ouvertes, ensanglantées. "Des photos insoutenables", a commenté Me Alain Reisenthel, avocat du grand frère de Marc, partie civile.

La belle-soeur de David Da Costa, poursuivie pour "non dénonciation de mauvais traitements", a fait un malaise et a dû être évacuée par les sapeurs-pompiers. "C'est écoeurant, mais au moins, tout le monde l'a vu", s'est ému le père de Marc, partie civile dans le procès.

"Je ne sais pas ce qui s'est passé", a répété à plusieurs reprises David Da Costa lorsque l'avocat général Luc Frémiot lui a demandé de s'expliquer sur les faits. "Qu'aviez-vous contre lui?", l'a également interrogé ce dernier. "Rien", s'est exclamé l'accusé, avant d'ajouter: "Marc, c'était mon meilleur copain".

Durant toute la journée, la cour a également tenté de comprendre quelle a été l'attitude de la mère, au cours de toute cette période de violence. Isabelle Gosselin, 35 ans, est poursuivie pour complicité d'acte de barbarie et risque, comme son ex-compagnon, la réclusion à perpétuité.

"Le fait qu'il le tape, ça m'a toujours horrifiée. Mais j'étais tétanisée. Je ne pouvais rien faire. Je n'avais jamais vu ça", a-t-elle expliqué au sujet de son ex-compagnon.

Une question est revenue sans cesse dans les débats: pourquoi n'est-elle pas partie pour protéger son enfant? "Je ne sais pas", a répondu en boucle l'accusée, au point d'irriter ses propres avocats. "Même nous, on ne comprend pas", se désole l'un d'eux, Me Philippe Simoneau. "Pourquoi, cette mère, à un moment donné, ne réagit pas? L'amour rend aveugle, oui, mais jusqu'à un certain point. On voudrait qu'Isabelle nous explique."

Me Alain Reisenthel a lui relevé que "cent fois, elle aurait pu faire ce qu'il fallait: sortir de chez elle, alerter la police, un voisin ou donner un simple coup de téléphone. Elle ne l'a jamais fait. Aujourd'hui, elle le regrette, mais il est beaucoup trop tard".

Jeudi, la cour entendra le témoignage du grand frère de Marc, aujourd'hui âgé de neuf ans. Le verdict est attendu en fin de semaine prochaine. AP

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j'avais déjà parlé de cette triste affaire mais certains point ici décrivent l'état presque second dans lequel on peut se trouver lors d'une crise qui arrive "à la faveur de" ou "en raison" de la période critique septennale (en général c'est après-coup "on ne comprend pas comment on a pu faire çà...". la date de naissance de l'intéressé permettrait de savoir exactement où il en était durant les six semaines de calvaire de l'enfant, y compris au niveau des jours critiques (c'est le jour critique émotionnel que l'on a tendance à "disjoncter")
si Da Costa a 38 ans aujourd'hui il se trouvait probablement fin 2005 dans sa période critique septennale des 35 ans... reste encoreà savoir quel était le rôle de la drogue...

quelques données dans La Voix du Nord (les comportements et les dates étant importants) :

Il faut maintenant tenter d'expliquer. Le président Gasteau reprend la chronologie des violences qui auraient commencé le 21 décembre 2005, dans un hôtel de Grande-Synthe où la famille est en vacances : un coup de poing au visage alors que Marc et son beau-père sont seuls. Da Costa raconte que Marc a insulté un adulte qui l'a frappé. « Quelque part, ça m'a paru bizarre, lâche Isabelle Gosselin, mais j'ai pas été chercher plus loin et je l'ai tellement cru que j'ai puni Marc. » De retour à Auby, la fréquence des violences s'accélère.

Le 8 janvier, raconte la mère, « Marc a voulu se sauver, il l'a rattrapé dans le champ et lui a mis plein de coups de pied. Marc tombait, il le relevait et le frappait... Ensuite il lui a fait manger la terre qu'il avait dans la bouche. » Le 15 janvier, au cours d'une promenade, Marc tombe dans un fossé d'eau glaciale. À ce moment déjà, il marche comme « une tortu e, un robot ». Sa mère va chercher des vêtements secs et revient... l'enfant est inconscient. « Vous le voyez inanimé et vous ne réagissez pas ? », questionne le président. « David Da Costa me dit qu'il va s'en occuper », répond Isabelle Gosselin. « Ça ne réveille pas en vous la maman poule ? », insiste le président. « Après avoir vu les photos, je pourrais mourir », lâche-t-elle.

et enfin le jour du décès, mercredi 25 janvier 2006...

on peut remarquer qu'il y a deux jours qui entrent en ligne de compte dans ces données : mercredi et dimanche. jour critique émotionnel ?

mercredi 29 octobre 2008

drame familial

DDP-Meldung vom 29.10.2008, 11:02 Uhr

Mann erschießt Ehefrau und anschließend sich selbst

Erlangen (ddp-bay). Bei einem Familiendrama in Erlangen sind zwei Menschen ums Leben gekommen. Nach ersten Ermittlungen erschoss ein 63-jähriger Mann am Dienstagabend zunächst seine Frau und anschließend sich selbst, wie die Polizei am Mittwoch mitteilte. Die 79-Jährige war von ihrer Tochter tot im Fernsehsessel aufgefunden worden. Daraufhin rückte ein Spezialeinsatzkommando der Polizei an. Die Beamten entdeckten den Ehemann leblos im Schlafzimmer. Er hatte sich mit einer Pistole erschossen. Das Motiv liege im persönlichen Bereich des Ehepaares, hieß es.

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ici l'homme a 63 ans - pleine période critique par conséquent - il a tué son épouse de 79 ans avec une arme à feu et s'en ensuite suicidé.

détonateur

Vorarlberg-online :
Mord in Feldkirch: Täter stach über 70 Mal auf sein Opfer ein
Feldkirch - Grausame Details über das blutige Familiendrama in Feldkirch-Levis vom Montag kamen am Mittwoch ans Tageslicht. Wie die Obduktion des Opfers ergab, tötete der 28-jährige Täter seinen Stiefvater mit über 70 Messerstichen.

Aufgrund der Brutalität der Tat sei von einer sehr heftigen Auseinandersetzung zwischen den beiden Männern auszugehen. Der Geisteszustand des Tatverdächtigen werde in einem gerichtspsychiatrischen Gutachten untersucht werden, so Fitz.
Der 28-Jährige wurde mittlerweile in die Justizanstalt Feldkirch eingeliefert, der Antrag auf Untersuchungshaft sei gestellt. In seiner erneuten Einvernahme habe der Mann die jahrelangen Streitigkeiten zwischen ihm und dem Opfer als Motiv angegeben. Die Tatortarbeiten werden laut Fitz noch am Mittwoch abgeschlossen werden.

Wie berichtet hatte am Montagmittag ein 28-jähriger Mann in Feldkirch-Levis seinen 59-jährigen Stiefvater in dessen Wohnung nach einem Streit erstochen. Der Konflikt zwischen den beiden Männern dürfte bereits seit Jahren bestanden haben und hat am Montag in der schrecklichen Bluttat seinen traurigen Höhepunkt gefunden. Der tatverdächtige 28-Jährige wurde unmittelbar nach der Tat festgenommen und zeigte sich geständig.

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la période critique septennale peut constituer - je pense que c'est souvent le cas - un détonateur qui va faire exploser quelque chose qui est latent, qui couve depuis un moment...
çà semble être le cas ici où le conflit avec le beau-père durait depuis des années...
lundi (jour critique émotionnel à vérifier ?) après-midi, l'intéressé, qui a 28 ans, a lors d'une Nième querelle tué son beau-père en lui assénant 70 coups de couteau...

suicide

Hong Kong : un suicide après des pertes en bourse
NOUVELOBS.COM | 29.10.2008 | 13:12
4 réactions
Leung Man-Kong, 62 ans, s'est précipité mardi matin du huitième étage d'un immeuble. Il aurait perdu des sommes importantes, selon son associé.


(Reuters)
Un homme d'affaires de Hong Kong s'est donné la mort après avoir essuyé de sévères pertes en Bourse, a indiqué, mercredi 29 octobre, la presse locale.
Leung Man-Kong, 62 ans, s'est précipité mardi matin du huitième étage d'un immeuble, selon le South China Morning Post.
Selon l'associé du défunt, avec qui il gérait plusieurs restaurants, Leung Man-Kong avait perdu des sommes importantes en jouant à la Bourse.

L'OMS avait prévenu

L'indice de la place de Hong Kong, le Hang Seng a perdu plus de 60% de da valeur depuis un an en raison de la crise financière mondiale.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS), a estimé début octobre que la crise risquait de provoquer une recrudescence du nombre des suicides et des troubles mentaux parmi les victimes des turbulences financières.

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les problèmes liés à la crise et la coïcidence avec une période critique ou l'entrée dans cette dernière peuvent effectivement constituer une goutte qui fait déborder le vase... ce pourrait être le cas ici, l'intéressé se trouvant devant sa période critique septennale des 63 ans.

meurtre

sur 3ème oeil :

Déjà condamné pour meurtre, il récidive et tue sa compagne

" Un quadragénaire déjà condamné pour meurtre et soupçonné d'avoir tué sa compagne samedi soir en l'étranglant à son domicile de Sucy-en-Brie (Val-de-Marne) à la suite d'une violente dispute, a été mis en examen hier à Créteil et écroué, a-t-on appris de source judiciaire.

Le suspect, âgé de 41 ans, a été mis en examen pour homicide volontaire sur concubin, en récidive, qualification passible de la réclusion criminelle à perpétuité, a-t-on précisé de même source.

Il a été écroué à la maison d'arrêt de Fresnes (Val-de-Marne).

Samedi soir, sa nouvelle compagne depuis environ deux mois, âgée de 36 ans, avait été découverte à son domicile de Sucy-en-Brie allongée sur un canapé, sous une couverture. L'autopsie réalisée dimanche a révélé que la victime avait été frappée au visage et avait été étranglée.

Condamné à 15 ans de prison en 1993

Interpellé en état d'ébriété peu après la découverte du corps de la jeune femme, le suspect, marié et père de deux enfants, a reconnu les faits au cours de sa garde à vue.
Il avait été condamné en 1993 à une peine de 15 ans de réclusion criminelle par la cour d'assises du Val-de-Marne pour un double meurtre commis le 22 janvier 1991. Il était sorti de prison en 2000."

Source : LE BIEN PUBLIC (29 octobre 2008

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- l'intéressé a 41 ans aujourd'hui (entrée de la période critique septennale des 42 ans)
- double meurtre le 22 janvier 1991 : 24 ans. ce n'est pas une période critique du cycle émotionnel septennal, mais l'une des années critiques fréquentes et importantes du cycle physique de 23 années (équivalent de P1 - première année d'un nouveau cycle)

il me manque la date de naissance pour voir quelle était la situation biorythmique chaque fois... car on trouve fréquemment un jour critique émotionnel ou moins souvent un jour critique physique. ici sauf erreur de calcul c'est le jour critique physique qui semble être présent. (il faut calculer la situation et le rapport entre les deux jours de crimes) samedi 25/10/2008 et mardi 22/01/1991 : il suffit pour cela de faire un biorythme démarrant le 22/01/1991 et voir quel est le rapport avec la journée du 25/10/2008)
en tous cas pas de récidive de jour critique émotionnel (il faudrait pour cela que la personne ait agit chaque fois le même jour de la semaine).

accusé

Accusé de meurtre

(radiocanada.ca)
Mardi, un homme originaire de Medecine Hat doit comparaître devant un tribunal de la Caroline du Nord, aux États-Unis.

Brad Cooper, 35 ans, est accusé du meurtre prémédité de sa femme, Nancy.

Le corps de la victime, originaire d'Edmonton, a été retrouvé à la mi-juillet sur un chantier de construction, près de la maison du couple à Cary, une banlieue de Raleigh, la capitale de la Caroline du Nord.

L'accusé avait signalé sa disparition deux jours plus tôt. S'il est reconnu coupable, Brad Cooper risque la peine de mort ou la prison à vie.

Selon des amis du couple, l'accusé et la victime étaient en instance de divorce.

pulsions

edicom.ch :
Un homme exécuté au Texas pour le meurtre et le viol d'une fillette

Eric Charles Nenno, 47 ans, condamné à mort pour le viol et le meurtre d'une fillette de 7 ans en 1995, a été exécuté mardi soir au Texas, dans le sud des Etats-Unis. Cette annonce a été faite par les autorités judiciaires de l'Etat.

M. Nenno a été exécuté par injection létale et son décès a été prononcé à 18h20 locales (00h20 suisses), a indiqué le département de la Justice du Texas dans un communiqué.
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M. Nenno avait été condamné à mort en 1996 pour des faits commis le 23 mars 1995 à Hockley (Texas). Ce jour-là, il avait attiré chez lui une fillette de 7 ans qui jouait dans un jardin avant de la violer, de la frapper à mort et de la violer à nouveau. Il avait ensuite caché le corps dans son grenier.

L'enquête avait montré que M. Nenno avait régulièrement des pulsions pédophiles et qu'il avait précédemment commis une agression à l'encontre d'une autre fillette, selon la justice texane.

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l'intéressé est né le 13 avril 1961 : il n'y a donc pas directement entrée dans une période critique septennale puisqu'il était devant ses 34 ans et que l'on entre aux alentours de 34 ans et demi seulement dans cette période à risques.
mais trois choses importantes pour moi (je n'exclue pas pour autant l'arrivée de la période critique dont je ne sais pas si et comment elle fait "monter la pression", ce que je pense)
- présence de la date anniversaire : on sous-estime largement la période critique se situant quelques semaines avant la date anniversaire : ici l'intéressé se trouvait à trois semaines environ - je pense que la période à risque démarre à quatre semaines avant cette date et qu'il s'agit donc d'un cycle annuel ; les symptômes les plus courants étant la mélancolie et la dépression, ici nous avons une extrême (une autre extrême pouvant être le suicide).
- le jour du crime (23 mars 1995) l'intéressé se trouvait dans un jour doublement critique : P1 et E22.
or ces deux jours sont - pour des personnes "à risque" des jours de pulsion et de passage aux actes.
le jour P1 est le jour le plus dur du cycle physique de 23 jours, c'est le premier jour du cycle.
le jour E22 est un jour critique émotionnel, 22ème jour du cycle émotionnel de 28 jours.

dépressif

ouestfrance.fr :
Plestan : l'homme de 55 ans disparu a été retrouvé mort noyé
A Plestan, l'homme de 55 ans porté disparu depuis hier midi vient d'être retrouvé mort dans un bassin de rétention d'eau à Saint-Igneuc, entre Plestan et Jugon-les-Lacs. La victime habitait à Plestan chez sa mère depuis plusieurs années. De nombreux moyens ont été mis en place pour le rechercher. Un hélicoptère, un maître-chien, vingt gendarmes et des riverains s'étaient mobilisés ces dernières heures.

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faudra voir de quoi il est décédé mais c'est mauvais signe quand on a 55 ans de disparaître au moment de l'entrée dans une période critique septennale...

mardi 28 octobre 2008

drame conjugal

trouvé sur 3ème oeil
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28492

Accusé d'avoir tué sa femme, en 2005 à Dol
" Jugé à Rennes, l'homme de 38 ans reconnaît le meurtre, mais conteste l'avoir prémédité. L'histoire d'un mariage qui avait tourné court.

Devant la cour d'assises d'Ille-et-Vilaine, qui le juge jusqu'à mercredi, Roger Colichet résume, d'emblée, sa position : « je suis coupable du meurtre, mais je ne l'ai pas prémédité. » Son avocat, Me Axel Pivet, contestera donc la qualification d'assassinat, retenue par le juge d'instruction de Saint-Malo. Et qui rend l'accusé passible de la perpétuité.

Avant de finir dans le sang, l'histoire d'amour entre Roger Colichet et Jacqueline Thébault, de 13 ans son aînée, n'aura pas duré longtemps. Quelques semaines après le mariage, célébré en mars 2004, la femme a déjà quitté son mari. Elle ne supporte pas sa jalousie, sa violence quand il a bu, ses menaces. Courant 2005, Jacqueline Thébault dépose plusieurs plaintes pour harcèlement téléphonique. Paradoxalement, elle accepte pourtant des soirées au restaurant avec son mari.

Neuf coups de couteau

Le 6 décembre 2005, la jalousie de Roger Colichet monte en puissance, jusqu'à l'explosion. Il harcèle sa femme sur son portable. Vers 23 h, après avoir prévenu les gendarmes, Jacqueline Thébault commet l'erreur fatale de rentrer à son appartement, rue du Colombier, à Dol. Son mari l'attend, caché dans l'escalier de l'immeuble.

L'épouse est accompagnée de sa fille de 17 ans et d'une amie. La première porte une bombe lacrymogène, la seconde un bâton. Armes dérisoires, face au couteau de Roger Colichet. Il porte huit coups à sa femme - six à la cage thoracique, deux à l'abdomen - avant de lui trancher la gorge. La fille et l'amie courent chercher du secours. Les pompiers trouvent Jacqueline Thébault morte. Elle avait 48 ans.
Les tâches de sang mènent jusqu'au logement voisin de Roger Colichet. Lorsque les gendarmes y pénètrent, le 7 décembre vers 6 h, ils le découvrent, un couteau planté dans le ventre. Il est hospitalisé. Hors de danger, il est écroué. Un expert a parlé de passage à l'acte « de type passionnel »."

Un article de Michel TANNEAU.

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ambiance septennale réciproque donc probablement compatibilité dans les tensions...
lui, si mes calculs sont bons a 35 ans, et elle en a 48...

faux suicide

Vesoul: une mort suspecte maquillée en suicide...
Un homme âgé de 48 ans a été placé en garde à vue après la découverte du corps de sa compagne de 39 ans pendue dans la cage d'escalier d'un immeuble désaffecté de la capitale haute-saônoise.

L'individu, un Albanais réfugié politique en France de 2004 à août 2008, s'était rendu samedi en fin d'après-midi au commissariat de Vesoul en affirmant qu'il avait découvert sa compagne pendue dans l'escalier d'un immeuble désaffecté, a indiqué le parquet.

Face aux éléments matériels, correspondant peu à l'hypothèse d'un suicide, et aux violences notoires dont l'homme avait déjà fait preuve envers la victime, le parquet vésulien a placé le quadragénaire en garde à vue dans le cadre d'une «enquête préliminaire pour mort suspecte».

Déjà inquiété par une enquête de la justice albanaise pour «enlèvement et séquestration» de la femme, d'origine albanaise et mère de deux enfants, retrouvée morte samedi, l'homme avait été expulsé et remis aux autorités albanaises début août.

Il était revenu en Haute-Saône fin septembre et était recherché par la police sur demande du parquet.

Sources: AFP

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la situation des cycles longs indique une entrée dans la période critique septennale pour l'homme dont il est question - donc période "à risque" - alors que la femme se trouve en période neutre, à 39 ans.

phil spector

scoop.people :
Phil Spector: son second procès pour meutre va débuter
25/10/08 à 16:09
Le second procès du producteur de rock Phil Spector, 68 ans, accusé du meurtre d'une ancienne actrice de série B en Californie il y a plus de 5 ans, devrait entrer la semaine prochaine dans le vif du sujet avec le début des débats.

Il est considéré comme l'un des génies de la musique rock grâce à la technique révolutionnaire d'enregistrement dite du "mur du son" qu'il avait mise au point dans les années 1960 au profit d'artistes comme John Lennon, George Harrison ou les Ronettes.
Les charges pesant contre lui sont les suivantes: furieux que Lana Clarkson se soit refusée à lui, il l'aurait abattue d'une balle dans la tête à son domicile de l'est de Los Angeles.
Son premier procès, au cours duquel cinq femmes affirmant avoir été menacées par le producteur avec une arme dans des circonstances semblables avaient témoigné à charge, avait été annulé en septembre 2007 après 5 mois de débats et 12 jours de délibérations à Los Angeles.

En effet le jury n'avait pas réussi à se mettre d'accord sur la culpabilité de Spector dans l'affaire de la mort de Lana Clarkson le 3 février 2003: 10 jurés sur 12 convaincu de sa culpabilité. L'unanimité étant requise pour décider du sort de l'accusé, le parquet avait ensuite décidé de lancer une nouvelle procédure contre lui.

Ce nouveau procès, au palais de justice du centre de Los Angeles, doit durer entre trois et quatre mois.

Le producteur se défend en assurant que: l'actrice de 40 ans, qu'il venait de rencontrer dans une boîte de nuit de Hollywood où elle travaillait comme serveuse, était déprimée par l'échec de sa carrière artistique, et qu'elle s'est suicidée alors qu'elle était en état d'ivresse.
Spector, toujours libre cinq ans et demi après les faits présumés grâce au versement d'une caution d'un million de dollars, risque entre 15 ans de prison et la perpétuité.

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wikipédia :
Philip Spector (dit Phil), né le 26 décembre 1939.
Phil Spector est actuellement jugé pour le meurtre de la comédienne Lana Clarkson survenu le 3 février 2003. L'actrice a été retrouvée morte au manoir du producteur, une balle dans la tête. Spector aurait déclaré à son chauffeur « Je crois que je viens de tuer quelqu'un » alors qu'il a toujours maintenu que l'actrice se serait suicidée (« Elle a embrassé le révolver, et j'ignore pourquoi », dit-il deux mois plus tard au magazine Esquire). Cependant, le tempérament de Spector, connu pour dégainer une arme très facilement quand il se voit contrarié, n'a pas plaidé en sa faveur lors de son procès qui s'est déroulé à Los Angeles en avril 2007 (le plus médiatique à Los Angeles depuis celui d'OJ Simpson en 1995). Faute d'unanimité au sein du jury (10 jurés étaient pour la condamnation et 2 pour l'acquittement), le procès a été annulé et Phil Spector est sorti libre du tribunal. Le parquet a fait appel et un nouveau procès devrait donc avoir lieu...

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çà donne quoi si on regarde la situation biorythmique du moment ?

- Phil Spector a 63 ans et 2 mois et se trouve donc sans la période critique septennale des 63 ans.
- 3/02/2003 c'est i 17 jour critique intellectuel. mais surtout la veille de E8 jour critique émotionnel.
trois raisons de dégainer, en quelque sorte...

et pour Lana Clarkson (5/04/1962) elle a 40 ans et 9 mois : pas de période critique.
et la veille de jour critique physique P12... donc pas vraiment d'indice "suicidaire", à première vue...


reste à voir la question de l'alcool qui peut venir s'ajouter et avoir eu une incidence dans tout cela... en tous cas la situation biorythmique ne plaide pas trop en faveur de Phil :-)

lundi 27 octobre 2008

meurtre

Wuppertal
Tod in eiskaltem Wasser
Die Pflegemutter Kaja G. soll die fünfjährige Talea aus Wuppertal misshandelt und in einer mit eiskaltem Wasser gefüllten Badewanne erstickt haben. Jetzt beginnt der Prozess.
Von FOCUS-Korrespondent Arno Heissmeyer

Die kleine Talea soll von ihrer Pflegemutter in einer Badewanne erstickt worden seinMartina S. weint ununterbrochen. Die Frau aus Wuppertal ist mit den Nerven am Ende. Die Trauer um ihre Tochter Talea, die nur fünf Jahre alt wurde, lässt die 36-jährige Mutter völlig verzweifeln.

Es war im September 2007, als sich Martina S. und ihr Lebenspartner Andre R. damit einverstanden erklärt hatten, die kleine Talea zur Pflege freizugeben. Es gab Probleme mit der Erziehung. Die Mutter war sich sicher, ihr Kind in gute Hände zu geben. „Jetzt fühlt sie keinen Boden mehr unter den Füßen“, klagt eine Vertraute der Familie. Denn zum Prozessbeginn am Montag trifft Martina S. im Wuppertaler Landgericht erstmals auf die Pflegemutter, die im Verdacht steht, das ihr anvertraute kleine Kind getötet zu haben.

Am 18. März 2008 ging um 17.39 Uhr ein Notruf bei den Rettungskräften ein. Am Telefon meldete sich Kaja G., die nach Angaben der Ermittler vorgab, in ihrer Wohnung ihr Pflegekind Talea im kalten Wasser der Badewanne gefunden zu haben. Sofort brachte der alarmierte Notarzt das Mädchen in eine Kinderklinik. Doch jede Hilfe kam zu spät. Noch am selben Abend starb das Kind. Die Ärzte stellten eine Körpertemperatur von nur noch 22 Grad Celsius fest.

Drei Tage später erging Haftbefehl gegen Kaja G. wegen Totschlags. „Die Obduktion der Leiche und widersprüchliche Angaben bei der Vernehmung“, so Staatsanwalt Heribert Kaune-Gebhardt, hätten den Verdacht auf jene Frau gelenkt, die sich selbst als Pflegestelle beim Wuppertaler Jugendamt beworben hatte. Den Job hatte Kaja G. ohne Bedenken der Behörde bekommen. Sie ist selbst Mutter einer zweijährigen Tochter aus der Ehe mit Axel G. und eines neunjährigen Sohnes aus einer vorangegangen Beziehung.

Die Ermittler werfen der 38 Jahre alten gelernten Bürokauffrau und Arzthelferin Kaja G. vor, die kleine Talea in die mit kaltem Wasser gefüllte Badewanne gesetzt und ihr die Atemwege mit der Hand oder einem weichen Gegenstand zugedrückt zu haben. Das Kind starb an Ersticken in Kombination mit einer erheblichen Unterkühlung. Der kleine Körper wies außerdem Spuren von Misshandlungen auf. Die Rechtsmediziner fanden zahlreiche Hämatome am ganzen Körper und auch alte Verletzungen, Einblutungen im Kopf- und Nackenbereich sowie die Spur einer Schuhsohle hinter dem linken Ohr.

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ici c'est une femme de 38 ans - aide soignante elle-même avec deux enfants - à qui l'assistance a apparemment confié une enfant de cinq ans alors que les parents ne s'en sortaient plus face à un certain nombre de difficultés personnelles mais aussi avec l'enfant... si je ne m'explique pas ce qui a pu prendre la gardienne (elle a noyé l'enfant dans l'eau froide de sa baignoire) je remarque qu'au moment de l'abandon, la mère avait 35 ans et se trouvait par conséquent dans sa période critique septennale.
c'est peut-être là qu'elle aurait eu besoin d'un autre type de coup de main, sachant que le passage dans la période critique peut occasionner des difficultés parfois graves mais en principe passagères.
à présent bien sûr elle ne se pardonne pas l'abandon de son enfant.
pour la gardienne c'est la situation biorythmique le jour du drame qui serait importante... (mardi 18 mars 2008 alentours 17 heures ou 18H selon les articles : important car 18H est un pic de tension - entrée dans une nouvelle journée biorythmique) mais celle de l'enfant aussi, car c'est souvent le jour critique émotionnel ou physique qu'un enfant peut être "insupportable" mais aussi ces jours là qu'un gardien et même une maman ou un papa, peuvent craquer...
on peut cependant aussi s'intéresser à la période critique des 35 ans de la gardienne : si çà se trouve elle avait elle même des problèmes et n'en est pas sortie après la fin supposée de la période critique...

pédophile

welt.online.de :
Bremer Polizei erwägt Warnung vor Triebtäter
27. Oktober 2008, 03:03 Uhr Bremen - Nach der Übersiedlung eines als gefährlich eingestuften Sexualstraftäters aus Schleswig-Holstein ins Bundesland Bremen erwägt die Polizei vor Ort, die Nachbarn des Mannes zu warnen. Wegen einer Justizpanne war der 61 Jahre alte Pädophile aus einem Gefängnis in Lübeck entlassen worden. Nach Angaben der Bremer Justiz wollte der Mann ins kleinste Bundesland ziehen.

Polizeisprecherin Franka Haedke bestätigte gestern, dass geprüft werde, ob "irgendwann die Warnung der Nachbarn in Frage kommt". Dies sei aber nur eine mögliche Maßnahme unter vielen, die in Erwägung gezogen würden. Das Landeskriminalamt (LKA) habe eine Gefährderansprache mit dem Täter durchgeführt, sagte die Sprecherin. Dies sei eine übliche Maßnahme. Einzelheiten nannte sie nicht. Nach einem Bericht des "Focus" lebt der 61-Jährige mittlerweile in Bremerhaven, wo das "unmittelbare soziale Umfeld" gewarnt werden solle, zum Beispiel Eltern mit kleinen Kindern. Dies gehe aus internen Planungen des Bremer LKA hervor.

Wie ein Sprecher des Justizministeriums in Hannover mitteilte, sind in der Sexualverbrecher-Datei, die Niedersachsen im vergangenen Jahr einrichtete, mittlerweile 397 Straftäter erfasst. Davon seien 36 als akut rückfallgefährdet eingestuft worden. Etwa 50 der erfassten Täter seinen aus anderen Bundesländern zugezogen. Die meisten kämen aus Bayern und Nordrhein-Westfalen. lni

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les autorités allemandes se posent la question de savoir s'il faut prévenir le voisinage des risques de récidive que présente un pédophile qui vient de s'installer près de chez eux...
s'agissant ici apparemment d'une personne qui a 61 ans, je pense qu'il peut être utile de savoir qu'à 62 ans et demi cet individu va entrer dans sa période critique septennale des 63 ans. il s'agit effectivement, à ce moment là, d'une période "à risque" en raison des changements qui s'opèrent à cette occasion au niveau de la personnalité, de la diminution des inhibitions et de la survenance de pulsions. cela peut se vérifier en étudiant les comportements pédophiles, une grande partie sinon la plupart des "démarrages" ou passages aux actes ayant lieu lors de survenance d'une période critique septennale.

disparues de saone et loire

Disparues de Saône et Loire : des traces d'ADN retrouvées, l'enquête relancéeCréé le 27/10/08 -
Tout s'est passé entre 1986 et 1999, dans le département de la Saône et Loire : douze jeunes femmes y avaient été assassinées. Les crimes n'ont jamais été élucidés. Après la découverte de plusieurs ADN masculins sur des pièces à conviction, le procureur général de Dijon vient d'accepter de rassembler les dossiers au pôle d'instruction de Châlon-sur-Saône.

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sans en savoir beaucoup plus pour l'instant je relève juste qu'il s'agit de deux périodes septennales :
1986 à 1999 cela fait 14 ans.
beaucoup de tueurs (sinon une majorité) sont des tueurs septennaux et différents scénarios sont possibles :
- ils agissent durant leurs périodes septennales (ici aux alentours de 1986 - 1993 - 2000) en se tenant tranquilles durant les périodes de six années séparant les années septennales.
- ils peuvent agir durant toute une période de sept années, çàd d'une période critique à la suivante et se ranger ensuite...
- ils peuvent faire en tous cas des poses de cinq à sept ans (la période critique durant environ un an et demi)
- il n'est pas exclu qu'il y ait plusieurs personnes en cause : la plupart des tueurs agissent en fonction de leurs périodes critiques et de leurs jours critiques en raison des pulsions qui surviennent à ce moment là...


édit : ailleurs je trouve d'autres dates... coïncidence probablement, mais tout aussi curieuses...
le NouvelObs dit
"Les douze meurtres de Bourgogne
NOUVELOBS.COM | 26.10.2008 | 12:20
Retour sur les douze meurtres commis en Bourgogne, entre 1984 et 2005, alors que des analyses ADN récentes ont relancé l'affaire, a-t-on appris...

dans ce cas cela fait aussi ... 3 septennats (de 1984 à 2005 il y a 21 années)
cela pourrait cependant modifier les périodes critiques car çà donne dans ce cas :
1984 - 1991 - 1998 - 2005...
en fait il faudrait pouvoir faire le rapprochement avec les meurtres en question, que voici : (je rajoute le jour car c'est lui qui peut éventuellement donner une indication cyclique)

- mercredi 22 août 1984
Deux Belges de 22 ans, M.A. Cordonnier et F. Bruyère sont aperçues pour la dernière fois, à Saint-Laurent sur Saône. Elles ne seront jamais retrouvées.

- jeudi 14 novembre 1985
Sylvie Aubert disparaît à la sortie de son travail à Chalon sur Saône. Elle ne sera retrouvée étranglée que 5 mois plus tard, sur la commune de Géanges, les poignets liés par un fil de fer dans une rivière à Saint-Loup-de-la-Salle.

- jeudi 18 décembre 1986
Collégienne de 16 ans, Christelle Maillery-Pichon est retrouvée morte, quelques heures après sa disparition, dans une cave d’un immeuble du Creusot, tuée de 33 coups de couteau, à 200 mètres à peine de chez elle. L'enquête a débouché en 1990 sur un non-lieu. Les scellés de l’époque ont alors été détruits. Suite au travail d’un détective privé en fin d’année 2003, des nouvelles pistes ont pu être exploitées par celui-ci.

- dimanche 16 août 1987
Marthe Buisson, 16 ans, est enlevée, puis éjectée d'une grosse voiture blanche. Elle est retrouvée morte sur la bande d'arrêt d'urgence de l’autoroute A6, le crâne fracassé.

- mercredi 2 septembre 1987
Nathalie Maire, 18 ans, employée saisonnière sur l'aire d’autoroute de Saint-Albain, est retrouvée morte sur son lieu de travail après avoir été battue à coups de manche à balai puis étranglée avec la rallonge électrique du congélateur. Le mobile n'est pas le vol d'argent puisque la caisse de la jeune femme n'a pas été touchée.
Nathalie Maire avait témoigné, 15 jours plus tôt, dans le cadre du meurtre de Marthe Buisson.

- vendredi 5 mai 1989
Sylvie Baton, une étudiante de 24 ans, est retrouvée violée et étouffée dans sa baignoire chez elle à Avalon (Yonne). Le meurtrier lui avait lié les mains et l'avait battue avant de la tuer.
Ulrich Muenstermann, principal suspect, est mis en examen dans le cadre de cette affaire.

- samedi 17 novembre 1990
Carole Soltysiak, 13 ans, est découverte dans un bois de Perrecy-les-Forges. Son meurtrier l'a forcé à boire de l'alcool avant de la violer, de la poignarder à quatre reprises puis de mettre le feu au corps de m'adolescente.

- samedi 17 novembre 1990
Mère de famille, M.G Foatelli disparaît à Gueugnon. Elle est retrouvée morte quelques semaines plus tard, vêtue de vêtements différents de ceux qu'elle avait le jour de sa disparition. Son dossier est classé en suicide.

remarque : on a tendance à se suicider durant la période critique septennale et son jour critique émotionnel... date de naissance nécessaire pour le vérifier.

- samedi 28 décembre 1996
Christelle Bletry, 20 ans, est poignardée à 113 reprises alors qu'elle rentrait d'une soirée entre amis. La jeune femme s'est débattue et a probablement été tuée dans une voiture. Son sac n’a pas été fouillé et aucun indice n’accrédite la thèse d’une agression sexuelle. Mal préservée, la scène du crime n’a pas permis de réaliser des constatations déterminantes notamment au niveau des empreintes de pas et de véhicules.

- vendredi 7 février 1997
V. Beaune, 21 ans, disparaît à la sortie d'une brasserie à Beaune. Son corps est retrouvé le 17 mars au bord de la Saône, à Verdun-sur-le-Doubs. Ses poignets étaient menottés. Les causes de sa mort n'ont pu être établies. Toutefois, un de ses amis a été mis en examen, avant de bénéficier finalement d'un non-lieu.

remarque : la situation biorythmique d'un suspect peut être intéressante à regarder : période critique seoptennale ou jour critique physique ou émotionnel...

- mardi 1er juin 1999
Vanessa Thiellon, apprentie cuisinière de 17 ans, disparaît. Son corps est retrouvé dénudé et déformé par des coups violents, 4 jours après au bord de la Saône, à Mâcon. Aucune agression sexuelle n’a pu être constatée. Elle serait morte d'une overdose, selon l'autopsie. Son petit ami est mis en examen pour "homicide involontaire".

remarque : une overdose arrive de préférence le jour critique physique ou émotionnel. çà peut se vérifier au moyen de la situation cyclique.

- samedi 19 mars 2005
Anne Sophie Girollet, étudiante en médecine âgée de 20 ans, disparaît après avoir participé à un gala de danse à Mâcon. Des témoins affirment avoir vu un individu étranger rodé puis suivre en voiture la 405 de la jeune femme. Trois jours après, le véhicule d'Anne Sophie GIROLLET est retrouvé vide au fond de la Saône à seulement 200 mètres du Théâtre. L'ADN retrouvé n'est pas celui de la disparue. Le 2 avril, le corps est retrouvé flottant dans la Saône, à 500 mètres du lieu où sa voiture gisait. Elle est décédée par suffocation à cause de coups reçus au thorax. À l'autopsie ni ADN étranger, ni trace de violence sexuelle, ne sont révélés. Pourtant début 2006 , la présence d'éléments d'ADN masculin est confirmée. Mais il s'agit d'éléments incomplets, endommagés, qui ne permettent pas d'avoir le protocole entier de l'ADN et donc son inscription au Fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS) ou au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG).


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pour l'instant il ne semble pas ressortir de lien très clair : je cherche un même jour (jour critique émotionnel en général est un jour de passage à l'acte le même jour ou la veille de ce jour - le criminel agit par pulsion hebdomadaire ou mensuelle) ou alors période critique septennale : c'est alors clairement des meurtres regroupés dans une même période, et/ou une pause de 5 à 7 ans entre des périodes... n'apparaît pas vraiment ici, non plus.
il faudrait déjà pouvoir éliminer de façon certaines les cas où l'on a un suspect, ou encore qui semble effectivement résolus (Muenstermann, suicide ou overdose p.ex. ?)

meurtre

laparisien.fr :
Val-de-Marne : en garde à vue après le meurtre de sa compagne26.10.2008, 20h30 |

Un homme de 41 ans se trouvait dimanche soir en garde à vue après le décès de sa concubine de 36 ans, retrouvée morte samedi soir à son domicile à Sucy-en-Brie (Val-de-Marne), a-t-on appris de sources policière et judiciaire. L'auteur présumé du meurtre a été interpellé samedi peu après les faits.

Cet homme, qui était le compagnon de la victime depuis environ deux mois, a reconnu avoir violenté la jeune femme après une dispute dans un contexte alcoolique.

Le suspect, dont la garde à vue a été prolongée de vingt-quatre heures, a ensuite pris la fuite en laissant sa compagne pour morte.

L'autopsie réalisée dimanche a révélé qu'en plus des coups, la victime avait le larynx cassé, signe évocateur d'une strangulation.

La police a été alertée par la famille de la victime, inquiète de ne pas avoir de nouvelles.

Leparisien.fr avec AFP

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la période critique septennale appuyée en plus par l'alcool cela peut tourner à la catastrophe...(on peut comparer la désinhibition provoquée par l'absorbsion d'alcool un peu comme celle qui survient lors d'un jour critique émotionnel ou lors de la période critique septennale...)
en outre ici nous ne sommes éventuellement pas loin d'une situation de compatibilité, la compagne venant de sortir de sa période critique des 35 ans.

samedi 25 octobre 2008

meurtres

lefigaro.fr :
Jennifer Hudson: le beau-frère interpellé
Source : AFP
25/10/2008 |

Le beau-frère de l'actrice américaine Jennifer Hudson, soupçonné d'avoir abattu la mère et le frère de la jeune femme, et d'avoir kidnappé son neveu toujours porté disparu, a été interpellé vendredi par la police, a-t-on appris de sources concordantes.

Arrêté en fin de journée, cet homme est l'époux de la soeur aînée de l'actrice, Julia Hudson, dont il est séparé. C'est le fils de celle-ci, dont il est donc le beau-père, âgé de sept ans, qui a disparu, selon les témoignages de voisins et les médias américains.

La police a seulement confirmé de son côté que l'enfant pourrait avoir été enlevé par un homme âgé de 27 ans soupçonné du double meurtre.

Le suspect est en liberté conditionnelle après avoir passé six ans et demi en prison pour une tentative de meurtre, selon le site internet spécialisé dans la vie des célébrités TMZ's.

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si le meurtrier a 27 ans il se trouve effectivement à l'entrée de sa période critique septennale des 28 ans... ce qui a fort bien pu le faire disjoncter...
en outre, le fait qu'il ait passé six ans et demi en prison - donc pratiquement un septennat - pour tentative de meurtre probablement lors de sa période critique septennale précédente (il s'agit donc d'un récidiviste septennal) on l'a bien entendu relâché au plus mauvais moment... à l'entrée de la période critique suivante...

drame familial

Abenblatt.de :
Getötete Rentnerin: Sohn gesteht Tat
Der Tod an der Volksdorfer Rentnerin Renate P. (76) ist aufgeklärt. Georg P. (52) hat gestanden, seine Mutter umgebracht zu haben. Nachdem er zunächst lediglich eine Beteiligung an der Tat nicht ausgeschlossen hatte, legte er nun ein volles Geständnis ab.

Auch die Todesursache ist geklärt. Die 76-Jährige erstickte, sie wurde erwürgt. Die Blutspuren an Kleidung, in der Küche und im Kellerzugang rühren offenbar von einem Kampf her. Offenbar hatte Georg P. seine Mutter auch geschlagen. Wann die Volksdorferin allerdings starb, konnte die Polizei noch nicht genau ermitteln. Sie vermuten, dass sie bereits vor rund zehn Tagen starb.

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le fils de 52 ans a étranglé sa mère de 76 ans apparemment à la suite d'une altercation, cette dernière lui imposant de se trouver du travail...
il pourrait y avoir un lien entre la période critique septennale de la mère, mais aussi la période critique physique du fils qui à 52 ans se trouve en P7 année critique physique. (53ème année de vie)

vendredi 24 octobre 2008

suicide et infanticide

france-soir :
Suicide - Une mère et ses deux filles tuées au passage à niveau

La maman de 28 ans rencontrait de lourdes difficultés personnelles. Après avoir passé deux coups de fil, Katia est venue acheter son dernier paquet de cigarettes. Le buraliste raconte.
« Je suis la dernière personne à lui avoir parlé… » Jacques Terrasse, le buraliste de la petite commune de Saint-Nazaire (Gard), s’en voudra longtemps de ne rien avoir pu faire pour sauver la vie de Katia Rahrah, 28 ans, et ses deux fillettes, Anissa, 10 ans, et Kaïna, 7 ans et demi. « Elle est venue acheter un paquet de cigarettes un quart d’heure avant. Je suis traumatisé. Si seulement, j’avais pu lui dire quelques mots à cette petite, ça l’aurait peut-être aidée. Ca me fait mal au ventre. Elle passait tous les jours. Une belle fille, très gentille. Je l’ai trouvé bien. J’ai vu les deux petites dans la voiture. Elle m’a dit qu’elles allaient se promener. »
On est mercredi. Anissa et Kaïna n’ont pas école. La jeune mère de famille, au volant d’une Peugeot 106 prêtée par un voisin, prend la direction de Laudun-l’Ardoise, une commune située à 5 kilomètres de là, où se trouve un passage à niveau. Plusieurs voitures attendent déjà le passage du train de marchandises derrière les barrières abaissées. La Peugeot 106 ne s’arrête pas. Elle prend la voie de gauche, contourne la barrière et s’arrête sur la voie ferrée. Le choc avec la locomotive est d’une rare violence. La voiture de Katia est traînée sur 300 mètres. La jeune mère et l’une de ses filles sont mortes sur le coup. Les sapeurs-pompiers tentent, en vain, de réanimer la troisième victime qui décède dans l’hélicoptère avant son arrivée à l’hôpital.


« Elle veut nous tuer ! »
Quelques minutes avant, Katia aurait passé deux coups de fil à une voisine, Aurore, au 17, de la cité des Bosquets où elle élève seule ses enfants depuis plus d’un an. Le premier appel pour lui communiquer un numéro de portable. « Prend-le », lui aurait-elle intimé. Le second pour lui dire que la porte de son appartement restait ouverte. Selon les gendarmes, son amie aurait alors entendu les fillettes hurler derrière leur mère : « Elle veut nous tuer ! »

Le parquet de Nîmes a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette mortelle randonnée ainsi que le mobile de ce suicide familial.

Il semblerait que la jeune mère rencontrait des problèmes financiers, notamment. Séparée depuis peu, elle était à la recherche d’un travail. « Elle avait traversé une crise, il y a environ un mois et demi, se rappelle le buraliste, elle me disait qu’elle en avait marre et qu’elle voulait quitter le village. Elle se confiait peu. Et depuis quelque temps elle avait retrouvé le sourire. »

Dans la seule école du village, une cellule de soutien psychologique a été mise en place depuis deux jours. « Nous n’avons rencontré aucun problème avec cette famille, confie le nouveau directeur, Rémy Perollet. Anissa venait de rentrer en CM2 et sa sœur Kaïna en CE1. Les enfants se demandent pourquoi elles ne sont pas là. Des parents s’inquiètent ; des mamans sont effondrées. »
Tout aussi choqué, le conducteur du train a dû être remplacé. Selon la direction régionale de Réseau ferré de France (RFF), « le train ne pouvait s’arrêter. Les convois de ce type atteignent plus de 2.000 tonnes et ne peuvent stopper qu’au bout d’un kilomètre ».


Edition France Soir du vendredi 24 octobre 2008 n°19935 page 12

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c'est là qu'il serait important de tenir compte de la période critique septennale : on y entre à 27 ans et demi... et parfois on n'en sort pas... comme ici...

drame familial

Giessener Anzeiger :
Familiendrama in Rudingshain: Ehepaar stirbt durch Messerstiche
Sohn findet tote Eltern in seinem Haus - Staatsanwalt: Streit soll es nicht gegeben haben

RUDINGSHAIN (sw). Große Trauer und Bestürzung hat ein offensichtliches Familiendrama im Schottener Stadtteil Rudingshain ausgelöst. Am Mittwochnachmittag gegen 14.50 Uhr wurde ein Ehepaar von einem seiner Söhne tot aufgefunden. Die Bluttat ereignete sich nicht im Wohnhaus des Ehepaares, sondern in der Wohnung des Sohnes. Im gleichen Haus lebt auch die pflegebedürftige Mutter eines der beiden Opfer.
Das Ehepaar, ein 66-jähriger Rentner und seine 62-jährige Frau, versorgten täglich die ältere Frau, kehrten aber abends normalerweise in ihr Wohnhaus zurück. Wie Oberstaatsanwalt Reinhard Hübner (Gießen) mitteilte, habe sich das Ehepaar am Dienstagabend in der Wohnung des Sohnes aufgehalten.

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il semblerait que le mari ait tué sa femme à coups de couteau et se soit suicidé ensuite en se tranchant la gorge...
pas de dispute apparemment, le fils ayant passé avec eux la soirée précédente... donc pas de motif connu pour l'instant...

je relève ce drame car on peut observer que c'est l'épouse, à 62 ans qui se trouve à l'entrée de la période critique septennale des 63 ans ; pas de période critique pour le mari dans sa 67ème année : pour les deux resterait à vérifier leur jour critique émotionnel... jour d'un possible coup de sang en cas de dispute ou conflit.
j'ai par contre remarqué qu'une personne à l'entrée de sa période critique ou dans sa période critique peut passer - malgré elle - maître dans l'art de mener l'autre à bout, en cas de conflit... et la période critique est une situation propice aux conflits quoique l'on fasse : c'est tout l'intérêt de le savoir pour prévenir la chose.

scandale

online.focus :
Bundespolizei ermittelt gegen rabiate Schaffnerin
Am Montag setzte eine Zugbegleiterin ein zwölfjähriges Mädchen aus, das seine Fahrkarte vergessen hatte. Nun ermitteln die Behörden und suchen Zeugen.
Zugbegleiterin setzt Zwölfjährige ausDie Bundespolizei ermittelt gegen die Zugbegleiterin, die einem zwölf Jahre alten Mädchen die Weiterfahrt in einem Regionalzug in Mecklenburg-Vorpommern verweigert hatte. Die Bahn-Mitarbeiterin hatte das Kind bei anbrechender Dunkelheit auf dem Dorfbahnhof Parkentin ausgesetzt, weil das Mädchen keine Fahrkarte vorweisen konnte. Um den Vorfall aufzuhellen, würden jetzt im Auftrag der Staatsanwaltschaft Zeugen gesucht, sagte Polizeisprecherin Erika Krause-Schöne am Freitag.

Mit ihrer Anweisung an das Kind, den Zug zu verlassen, hat die Schaffnerin gegen eine Dienstanweisung der Deutschen Bahn verstoßen. Demnach dürfen Minderjährige nicht vom Personenverkehr ausgeschlossen werden, auch wenn sie kein gültiges Ticket vorweisen können. Nach Angaben der Mutter der Zwölfjährigen hatte die Zugbegleiterin dem Mädchen Schwarzfahren vorgeworfen.

Die Schülerin war auf dem Weg von Bad Doberan nach Rostock zur Musikschule und hatte ihre Geldbörse mit Fahrschein zu Hause vergessen. Auf halber Strecke musste die Zwölfjährige in Parkentin den Zug verlassen, obwohl Mitreisende für sie bürgten und den Fahrschein lösen wollten. Das Kind musste bei einbrechender Dunkelheit fünf Kilometer zu Fuß nach Hause laufen. Der Fall hatte bundesweit für Empörung gesorgt, die Bahn hatte sich umgehend entschuldigt und die Zugbegleiterin vom Dienst suspendiert. Die Zugbegleiterin hatte nach Angaben der Bahn bis Freitag Zeit, schriftlich zu dem Fall Stellung zu nehmen. Danach sollte über mögliche weitere arbeitsrechtliche Konsequenzen entschieden werden. im/ddp

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toute l'Allemagne est scandalisée parce qu'une femme contrôleur de la Bundesbahn (sncf allemande) a fait descendre d'un train une jeune fille de 12 ans, un soir, malgré interventions et protestations des autres passagers dont certains ont même proposé de payer le billet : la jeune fille est rentrée chez elle en faisant une marche de 5km son violoncelle sur le dos... (elle avait oublié son porte monnaie et son billet chez elle)...
l'employée a été suspendue de ses fonctions, pour l'instant.
je n'ai nulle part trouvé d'indication quant à son âge et il me paraît improbable qu'il n'y ait pas un lien avec une période critique septennale ou un jour critique émotionnel...
surtout qu'il semble s'agir d'une erreur flagrante en plus d'un coup de tête ou de colère : il est interdit de virer d'un train un mineur même s'il n'a pas de titre de transport...

meurtre

Oberhergheim : 11 ans de prison pour le meurtrier de Martine Killian
France > meurtre, strangulation, police scientifique, procès
Article posté par Stéphane Bourgoin le Vendredi 24 octobre 2008

" La cour d’assises des mineurs a condamné aujourd'hui le jeune meurtrier de Martine Killian à 11 ans de réclusion criminelle. Rappelons que cette femme de 46 ans avait été étranglée en septembre 2006 à son domicile d’Oberhergheim. Son cadavre avait été retrouvé dissimulé dans un cagibi.

Agé de 17 ans au moment des faits, et de 18 ans aujourd’hui, le jeune meurtrier était jugé depuis mardi à Colmar. Hier, l’avocat général Alain Reynaud avait requis à son encontre entre 12 et 14 ans de réclusion criminelle. Confondu par des empreintes d’ADN, le jeune homme avait été placé en garde à vue en décembre 2006, et avait fini par reconnaître sa culpabilité. Il avait expliqué que le jour des faits, il avait avoué son amour à Martine Killian et que celle-ci n’ayant pas réagi, il s’était senti gêné et avait eu peur qu’elle trahisse ses confidences."

Source : L'ALSACE (23 octobre 2008)

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là aussi il serait intéressant de connaître la situation biorythmique au moment du drame...
car pour :
" le jour des faits, il avait avoué son amour à Martine Killian et que celle-ci n’ayant pas réagi, il s’était senti gêné et avait eu peur qu’elle trahisse ses confidences."
puis étrangler la personne en question... ce ne peut être qu'un jour critique émotionnel...

la 18ème année de vie est en tous cas une année critique physique (équivalent de P18)

médicament

lepoint.fr :
Le médicament anti-obésité Acomplia retiré de la vente en Europe
Par Ségolène de Larquier (avec agence)

Les autorités européennes du médicament ont suspendu provisoirement l'autorisation de commercialisation du médicament anti-obésité Acomplia produit par le laboratoire Sanofi-Aventis. "La vente est interrompue immédiatement dans toutes les pharmacies des 18 pays de l'Union européenne qui le distribuent", précise jeudi un porte-parole du numéro quatre mondial de la pharmacie.

Ce dernier a expliqué que la suspension de la commercialisation de ce médicament - autorisée en juin 2006 par l'UE - avait été ordonnée après que les autorités sanitaires européennes (EMEA) eurent confirmé que les patients obèses ou en surpoids prenant le médicament avaient près de deux fois plus de risques de souffrir de troubles psychiatriques que ceux qui ne l'utilisent pas. "Les risques de se soigner avec Acomplia sont désormais supérieurs aux bénéfices que le médicament peut apporter au patient dans son indication actuelle", ont conclu les autorités européennes du médicament, selon le laboratoire pharmaceutique.

Pensées suicidaires

Des réserves avaient déjà été émises autour de ce traitement. Aux États-Unis, Sanofi-Aventis n'a jamais pu commercialiser ce médicament, les autorités sanitaires américaines ayant jugé qu'il était susceptible d'entraîner une augmentation des pensées suicidaires, y compris chez les patients sans antécédent de dépression. Le revers accusé aux États-Unis avait jeté le doute sur le médicament, d'autant que le suivi de son utilisation avait ensuite corroboré les risques. En juin 2008 encore, l'Agence britannique des médicaments avait relevé que cinq personnes l'utilisant étaient décédées.

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curiosité intéressante pour moi : la personne dont j'ai entendu l'interview semblait décrire typiquement une réaction de dépression septennale. il serait peut-être intéressant de voir la situation biorythmique des personnes qui ont eu des troubles ou des cinq personnes décédés...
on sait aussi que les personnes obèses le sont souvent parce qu'elles prennent des anti-dépresseurs... parce qu'elles sont déprimées...


édit :
dans un article de France-Soir un témoignage parlant : "Un changement brutal de comportement qu’a vécu Dominique, 46 ans. « J’ai ressenti des baisses de moral dès le premier mois, je pleurais sans raison, même en vacances. Crises d’angoisse, crises de larmes. C’était une catastrophe »
pour moi la 47ème année de vie çà peut être çà aussi... année critique P1 d'un nouveau cycle de 23 ans.
et un peu plus loin dans le témoignage l'intéressé apporte lui-même l'explication et surtout la solution :
"Aujourd’hui, Dominique a mis fin à toutes ces thérapeutiques et continue de « manger très mal, jamais à heures fixes, et surtout tard le soir ». Une alimentation totalement déséquilibrée. « Je travaille beaucoup et sans parvenir à avoir une hygiène de vie correcte. D’autant que j’adore bien manger ! », confie celui que l’on verra bientôt à la télé. Il n’est autre que l’un des participants à Un dîner presque parfait, émission à succès sur M6. Ah bonne chère, quand tu nous tiens…"

overdose

le soleil.ca :
Québec) Monique Lépine n'a plus honte de le dire : elle est la mère de Marc Lépine, celui qui s'est suicidé le 6 décembre 1989, après avoir tué 14 jeunes femmes à Polytechnique.

Elle est aussi la mère de Nadia. Elle aussi est décédée. Sept ans après le drame de Polytechnique, elle est morte d'une surdose de cocaïne. Elle avait 28 ans. «J'étais là pour les six dernières heures de sa vie. C'est une consolation.» C'est elle qui a pris la décision de débrancher sa fille, son cerveau était atteint.


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pour Marc Lépine c'est (26 octobre 1964 - 6 décembre 1989)
il a donc 25 ans et 2 mois : pas de période critique septennale, sauf éventuellement une sortie loupoée de la période critique sextennale des 24 ans mais je n'en sais pas plus, pour l'instant. autre détail : le 6/12/1989 est P19 un jour critique physique qui suit P18 et E15 deux jours avant (critique émotionnel).

la fille par contre avait 28 ans et se trouvait donc en période critique septennale.

infanticide

canoe.infos :
Meurtre de son fils
Une montréalaise jugée apte à subir son procès
La Presse Canadienne
23/10/2008 18h28


La montréalaise Louise Desnoyers, accusée d'avoir noyé son fils de 8 ans en 2006, a été jugé apte mentalement à subir son procès, a tranché un juge de l'État du Vermont, ce jeudi.

Âgée de 51 ans, Mme Desnoyers a plaidé non coupable en raison de son état psychologique pour le meurtre de Nicholas Desnoyers-Langlois.

Le garçon a été noyé près de l'Isle La Motte sur le lac Champlain.

Dans une ordonnance de trois paragraphes délivrée mercredi, le juge Michael Kupersmith a déclaré que Mme Desnoyers était capable de se défendre et de comprendre les procédures de la cour.

La police et les procureurs affirment que Desnoyers était perdue à la suite de sa rupture avec le père du jeune noyé.

Ils affirment également que le corps de son fils a été attaché à une bouée de bateau et que Mme Desnoyers s'est gravement blessée lorsqu'elle a tenté de se suicider.

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tout cela est arrivé à 49 ans, donc en période critique septennale...

jeudi 23 octobre 2008

soeur emmanuelle

trouvé sur wikipédia :
De 1954 à 1959, elle enseigne en Tunisie pendant cinq ans où elle s'occupe de filles de français installés dans le pays mais ce nouveau poste ne lui convient pas. En pleine décolonisation du pays, les filles dont elle a la charge lui semblent plus superficielles et l'environnement général la fait doucement sombrer dans une dépression. Ce n'est qu'au bout de trois ans que les responsables de Sion se rendent compte de son état et se décident à la déplacer.

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les filles et l'environnement général... ont probablement bon dos...
disons plutôt... période critique septennale des 49 ans (de 48 ans et demi à 50 ans).
(soeur emmanuelle avait 49 ans en 1957)

mauvais moment

France Info :
Un violeur multi-récidiviste remis en liberté
France Info - 18:24

Ce danseur de tango de 48 ans a déjà été condamné pour viol, et il était depuis le mois d’avril mis en examen pour deux autres affaires de même nature.
Cet été, il a de nouveau été vu avec deux jeunes femmes dans le bistrot du quartier du Louvre où il trouvait ses victimes. Il a donc été rapidement incarcéré.

Les psychiatres le décrivent comme potentiellement dangereux, "son comportement de séduction", écrivent-ils, "s’accompagne d’une volonté d’emprise avec manipulation et violence".
D’ailleurs, il a même été sanctionné en détention pour avoir eu une relation sexuelle contrainte avec une visiteuse au cours d’un parloir au mois d’aout.

Dans son arrêt du 17 octobre dernier, la Cour d’Appel de Paris écrit que la détention de cet homme est nécessaire mais hélas, à la dernière ligne, au lieu de conclure : "La Cour confirme l’arret de placement en détention", il est écrit "la Cour infirme" la détention.

Erreur typographique fatale : le danseur de tango devrait être remis en liberté dans la soirée.

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mauvais moment effectivement pour le relâcher : 48 ans et demi est l'entrée dans la période critique septennale des 49 ans... ses problèmes s'il sont récents viennent d'ailleurs peut-être de cela...

compatibilité à risque

Stuttgart Journal :
Ehepaar erschossen
Region Stuttgart: Familiendrama in Wolfschlugen

In der Nacht zum Dienstag spielte sich in der Region Stuttgart in Wolfschlugen (Kreis Esslingen) ein Familiendrama ab.

Wie die Polizei Esslingen mitteilt, wurde ein Ehepaar in einer Wohnung eines Mehrfamilienhauses erschossen aufgefunden. Die Kriminalpolizei Nürtingen hat die Ermittlungen aufgenommen.

Der 30-jährige Schwiegersohn des in der Mozartstraße wohnenden Ehepaars wollte am Mittwochnachmittag einen Besuch machen. Als er die Wohnung betrat, fand er die beiden 49 und 63 Jahre alten Wohnungsinhaber leblos im Bett liegen. Ein sofort hinzu gerufener Notarzt konnte nur noch den Tod der Beiden feststellen.

Nach bisherigem Ermittlungsstand geht die Kripo davon aus, dass der 63-jährige Mann zuerst seine 49-jährige Ehefrau im Schlaf und anschließend sich selbst mit einer Pistole erschossen hat. Das Motiv der Tat dürfte nach ersten Erkenntnissen die Trennungsabsicht der Ehefrau gewesen sein. Die Schusswaffe konnte in der Wohnung aufgefunden und sichergestellt werden. Bisher liegen keinerlei Erkenntnisse für eine Beteiligung Dritter vor. Die Ermittlungen dauern noch an.

(pol/ kl)

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le mari de 63 ans aurait tué son épouse de 49 ans, puis se serait suicidé d'un coup de feu...
la décision de séparation de la part de son épouse est probablement à l'origine du drame : il faut savoir que certainement une majorité de conflits débouchant sur des séparations arrivent au moment de la période critique septennale. il serait important de pouvoir faire la distinction entre une séparation voulue et/ou rendue nécessaire parce que la vie commune ne fonctionne plus réellement, ou une séparation liée à une mésentente et une incompatibilité de vie MOMENTANEE en raison de la survenance d'une période critique septenale de l'un des partenaires du couple, ou même des deux comme cela semble être le cas ici...

mercredi 22 octobre 2008

Josef Fritzl

"Né pour violer"
"Je suis né pour violer et je me suis retenu relativement longtemps", a déclaré M. Fritzl à la psychiatre selon Österreich, reconnaissant avoir "une veine maléfique". Josef Fritzl, 73 ans, avait déjà été condamné pour viol dans les années 1960. Il est accusé d'avoir séquestré et violé sa fille Elisabeth pendant plus de 24 ans dans la cave de sa maison d'Amstetten, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Vienne.

(source 7sur7 chez SKCenter)
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"je me suis retenu relativement longtemps"...
jusqu'à ma période critique septennale des 42 ans...

(çà c'est bien sûr moi qui le dis et l'ai calculé...)
Fritzl a 73 ans aujourd'hui... (né mardi 9 avril 1935)
sa fille dont il a commencé à abuser alors qu'elle avait 11 ans en a 42 aujourd'hui.
c'est à dire en 1977 : Fritzl avait alors 42 ans.

et c'est aussi le mardi (donc son jour critique émotionnel) le 28 août 1984 qu'il a définitivement enfermé sa fille dans sa cave bunker : c'était sa période critique septennale suivante... celle des 49 ans.

rappelons que les périodes critiques septennales sont des périodes de pulsions et passage aux actes... tout comme peuvent l'être les jours critiques émotionnels.

drame familial

canoe.infos :
Repentigny - Drame familial
Couple retrouvé sans vie
Marilou SéguinLe Journal de Montréal21/10/2008
Un drame familial a ébranlé un quartier paisible de Repentigny, hier, alors qu'un jeune homme a découvert ses parents sans vie au sous-sol de leur résidence.
La police envisage l'hypothèse du meurtre suivi d'un suicide mais n'écarte pas la thèse du double meurtre.
Vers 13h45, le fils du couple de quinquagénaire a appelé le 9-1-1. Il venait de découvrir le cadavre de sa mère, Rollande Liboiron, 50 ans, gisant sur le sol avec des blessures apparentes à la tête, et celui de son père, Yvan Samson, 53 ans, pendu dans la même pièce de la résidence de la rue Lemoyne.
«Le jeune est sorti de la maison en pleurant. Il était sur les nerfs, c'est certain», dit Jeannine Rivest Vézina, qui se baladait dans le secteur à l'arrivée des policiers.
«On ne sait jamais ce qui se passe réellement dans la cour du voisin», a ajouté la dame, peinée.

Geste de désespoir ?
Arrivé dans le quartier à l'été 2007, le couple était peu connu dans le voisinage.
«Lui, il était très gentil, mais il m'avait avisé que sa femme faisait de l'Alzheimer et qu'elle ne comprendrait pas si je lui parlais», dit Michèle Ritchotte, voisine immédiate du couple.
«Ils semblaient avoir une vie normale. L'homme disait qu'il était aidant naturel. La seule chose que je vois, c'est qu'il n'en pouvait plus. Il a posé un geste de désespoir», ajoute-telle.
Regroupés autour du périmètre de sécurité, les résidants du secteur tentaient aussi de comprendre ce qui avait pu se passer.
«J'ai regardé dans leur cour arrière et je n'ai jamais rien vu qui laissait présager un tel drame», dit Jacques Robillard. Enquête en cours
Sous le choc, l'aîné de la famille, qui a fait la macabre découverte, a passé l'après-midi dans une ambulance stationnée devant chez lui.
En soirée, les autorités interrogeaient toujours les trois enfants du couple. Étudiante en 5e secondaire, la cadette fréquente une école de Terrebonne alors que son frère étudie au Cégep de Saint-Jérôme.
La Sûreté du Québec prête main-forte aux autorités locales dans ce dossier. L'étude la scène de crime se poursuivra aujourd'hui.

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un "Alzheimer" (à 50 ans !) de l'épouse qui aurait conduit le mari à un coup de folie ?
ou plutôt une dépression septennale liée à la période critique des 49 ans ?
les symptômes peuvent être les mêmes... la différence est que la seconde s'en va en principe après l'écoulement de la période critique... donc on ne désespère pas...
en l'absence d'autres renseignements, attendons...

mardi 21 octobre 2008

drame conjugal

LeParisien.fr :
Un couple trouvé mort à Chatellerault20.10.2008,

Le Parquet de Poitiers a procédé lundi à l'autopsie des corps d'un septuagénaire et de sa concubine âgée d'une cinquantaine d'années retrouvés tués par balles samedi à Saint-Gervais, près de Châtellerault (Vienne).

Les deux corps et un fusil ont été découverts dans la ferme louée par le septuagénaire.

Aucune hypothèse n'est pour le moment écartée par les enquêteurs même s'ils penchent sur la thèse de l'homicide suivi d'un suicide. Après s'être disputé avec sa concubine, le septuagénaire l'aurait abattue avant de retourner son arme contre lui. Des voisins ont témoigné avoir entendu une dispute.

leparisien.fr

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peut-être saurons-nous l'âge des personnes en question...
71 ans et 46 ans : la période septennale c'est 69 et demi à 71 ans... il n'est donc pas impossible que cette période de dépression y soit pour quelque chose. La 47ème année de vie aussi est importante : il s'agit de la première année (équivalent P1) d'un nouveau cycle de 23 années donc année critique physique... le jour critique émotionnel reste toujours à voir aussi puisque c'est le "jour des explosions possibles" en cas de différend...

dépression

radio-canada.ca :
Personne n'est à l'abri

« La dépression est une maladie. Personne n'est à l'abri », annonce la publicité de la seconde phase de la campagne de sensibilisation sur la santé mentale lancée dimanche, par le ministre de la Santé du Québec, Yves Bolduc.

Dix sur dix. C'est la proportion de Québécois qui sont exposés au risque d'une dépression, selon le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS).

En point de presse, Yves Bolduc a précisé que la dépression est une maladie dont on peut guérir. Contrairement à ce que certains peuvent penser, a-t-il poursuivi, c'est une maladie comme les autres.

Si tous les Québécois ne font pas une dépression, les Instituts de recherche en santé du Canada affirment qu'une personne sur cinq éprouvera un problème de santé mentale au cours de sa vie.
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la dépression septennale est certainement l'une des formes de dépression la plus répandue... sauf qu'on ne le sait pas parce que l'on n'a pas encore fait le rapport avec les périodes critiques septennales...
à cette allure là chaque individu passe durant sa vie par plusieurs périodes où le risque de dépression est particulièrement présent : cela ne veut pas dire que l'on "tombe en dépression" systématiquement et heureusement car sinon un dixième de la population serait en dépression continuellement puisque c'est la règle mathématique des périodes critiques septennales... elles conduisent à un roulement régulier, une sorte de tour de rôle... de cette forme de dépression à durée limitée... c'est en cela que je pense personnellement que la dépression septennale n'est pas une maladie... du moins pas une maladie comme une autre... c'est un peu comme si l'on considérait que la survenance de l'adolescence, par exemple, ou encore des règles... est une maladie... : la période critique septennale - qui peut causer chez certaines personnes des dépressions - est simplement un phénomène cyclique naturel lié aux pulsations de la vie...


édit : bon je suis nul en maths alors je crois que c'est bien un septième de la population qui se trouve en permanence et à tour de rôle dans une période critique septennale ; bref essayez de faire le calcul vous-mêmes, facile :-) : une période critique chaque septième année de la vie pour chaque humain...

lundi 20 octobre 2008

séparation dramatique

SKCenter :
Un Anglais tue sa femme à cause d'un statut Facebook

Wayne Forrester n'aurait pas supporté que sa femme Emma affiche le statut "Single" (célibataire) sur Facebook quelques jours seulement après leur séparation et l'a poignardée à plusieurs reprises.

"Célibataire", "en couple", "marié", "c'est compliqué"... S'ils paraissent anodins, ces quelques mots résumant votre situation sentimentale sur votre profil Facebook peuvent donner lieu à de véritables drames. C'est par exemple le cas si, bien que vous soyez en couple, vous affichez toujours le statut "Célibataire". Ou si vous passez du statut "En couple" à "Célibataire" un peu trop vite au goût de votre ex.

C'est ce dernier cas de figure qui aurait rendu fou Wayne Forrester, un Anglais de 34 ans. Découvrant le nouveau statut de sa femme Emma après à peine quelques jours de séparation, il s'est rendu à son ancienne adresse où résidaient toujours sa femme (et ses deux enfants) et l'a poignardée à plusieurs reprises à l'aide d'un couteau et d'un hachoir.

La BBC révèle aujourd'hui que Wayne Forrester a reconnu le meurtre de sa femme qui s'est déroulé le 18 février dernier et a écopé de la prison à vie. L'enquête révèle par ailleurs qu'il était sous l'emprise de la drogue et de l'acool au moment des faits.

"Emma et moi, nous venions juste de nous séparer. Elle m'a forcé à partir. Ensuite elle a posté des messages sur Facebook déclarant à tout le monde qu'elle m'avait quitté et qu'elle cherchait à rencontrer d'autres hommes. J'aimais Emma et je me suis senti dévasté et humilié», a expliqué le meurtrier à la police. Un argument qui n'a pas convaincu le juge: "Vous avez commis un acte terrible. Il n'y a pas d'excuse possible ou de justification".

SOURCE : 7 SUR 7

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prudence en cas de séparation sur "période critique septennale"... ou au moment de celle-ci pour l'un ou l'autre des partenaires... émotions et ressenti... et réactions... sont démultipliés...

meurtre

Hamburger Abendblatt :
Familiendrama: Rentnerin lag tot im Garten
Die Leiche blieb tagelang unentdeckt. Angehörige hatten die Polizei alarmiert. Der 52-jährige Sohn Georg P. legte ein Teilgeständnis ab. Zwar gab er die Bluttat nicht zu, stritt aber auch nicht ab, beteiligt gewesen zu sein.
Von Sascha Balasko, Michael Arning und Sally Meukow

Im Garten eines Grundstücks am Lottbeker Platz (Volksdorf) wurde der Leichnam von Renate P. (76) entdeckt. Foto: Arning
Familiendrama in Volksdorf: Ein 52 Jahre alter Mann soll seine Mutter (76) in ihrem Haus am Lottbeker Platz umgebracht haben. Mehrere Tage lang lag der Leichnam der Rentnerin in einer Wolldecke gehüllt im Garten des Anwesens. Erst als besorgte Angehörige der 76-Jährigen die Polizei verständigten, wurde das Verbrechen entdeckt

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la police ne s'explique pas ce qui a pu se passer pour que ce fils de 52 ans tue sa vieille mère de 76 ans...
j'ai retenu le sujet car la 53ème année de vie est une année critique sextennale (et non septennale) mais je me pose surtout la question de la situation de la mère à l'entrée de la période critique septennale des 77 ans.
il y a peut-être quelque chose à voir aussi de ce côté là : à l'entrée d'une période critique on est bien moins tolérant, plus exigeant et je me demande si cela n'a pas pu donner lieu, ici, à une sévère altercation qui a mal fini...

dimanche 19 octobre 2008

coup de folie

Geislinger Zeitung :

Ein schwerer psychischer Zusammenbruch
41-jähriger Kommissar muss für unbestimmte Zeit in die Psychiatrie - Kein Motiv zu finden
Der Polizist, der in Gosbach den 17-jährigen Sohn seiner Freundin erstochen hat, muss für unbestimmte Zeit in die Psychiatrie. Dazu hat ihn die Erste Große Strafkammer des Landgerichts Ulm gestern verurteilt.

Gosbach / Ulm Reglos, starrer Blick: So wie er in den beiden vorausgegangenen Prozesstagen neben seinem Anwalt saß, so nahm der beschuldigte Polizeikommissar gestern das Urteil entgegen, das ihn für unbestimmte Zeit in die Psychiatrie schickt. Nur zweimal hatte sich der 41-Jährige mündlich beteiligt: Zu Beginn des Prozesses und gestern in seinem letzten Wort. Doch was an jenem Februar-Vormittag in der Wohnung seiner Freundin ein Blutbad ausgelöst hat, bleibt ein Rätsel. Er selbst hatte zwar geschildert, wie er plötzlich ein Küchenmesser in der Hand hielt, doch warum und weshalb er wild um sich gestochen hat, vermochte er nicht zu sagen. Jedenfalls wollte er im plötzlichen Wahn, den Lotto-Jackpot geknackt zu haben, zunächst sich selbst umbringen, hat dann aber seine (von der Freundin hinzugerufene) Schwester mit Stichen schwer verletzt und den 17-jährigen Sohn der Freundin erstochen.

Was da geschehen sei, tue ihm "furchtbar leid", sagte er gestern, an seine ehemalige Freundin und seine Schwester gewandt (die ihm inzwischen verziehen hat): "Wir werden es nie vergessen können. Das hängt immer in unseren Gedanken, bis wir sterben."

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dans un coup de folie un policier de 41 ans a blessé à coup de couteau une amie et tué le fils de 17 ans de cette amie. pas trouvé de mobile, dit l'article : il ira en psychiatrie.
pas tout à fait incompréhensible pour moi... car il avait 41 ans - entrée de la période critique septennale et "pic" des "possibles" coups de folie.

dans un autre article je viens de trouver que c'est une dispute avec des problèmes de jalousie qui a dégénéré, mais coup de folie quand même...

suicide

site 3ème oeil :

Nouveau suicide dans une prison en Alsace : un détenu se pend à Ensisheim

" Un détenu s'est pendu vendredi dans sa cellule de la maison d'arrêt d'Ensisheim (Haut-Rhin), un drame qui vient s'ajouter à la série noire des suicides dans les prisons en France et plus particulièrement ces derniers jours en Alsace, a-t-on appris samedi auprès du Parquet de Colmar.

Il s'agit d'un détenu d'origine marocaine de 45 ans qui purgeait une peine de trente ans de réclusion pour meutre, dont vingt avec sûreté, mais qui "n'était pas connu pour avoir des tendances suicidaires", selon le Parquet.

Incarcéré depuis 1996, l'homme faisait régulièrement l'objet de procédures disciplinaires et il avait été changé à plusieurs reprises d'établissement pénitentiaire, a-t-on précisé de même source.

Un médecin légiste s'est rendu sur place. L'autopsie du corps sera pratiquée lundi. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte, "même s'il s'agit clairement d'un suicide", a indiqué le Parquet.

L'homme a été retrouvé vers 18 heures pendu dans une cellule du quartier disciplinaire, où il avait été placé dans la journée après avoir insulté le personnel et refusé de réintégrer sa cellule, a précisé Carlo Di Egidio, délégué régional de l'Union générale des syndicats pénitentiaires (UGSP-CGT).

Peu auparavant, des gardiens auraient entendu l'homme parler, en cette heure de distribution des repas où les allées et venues de gardiens sont fréquentes, a indiqué le représentant syndical.

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Source : AFP (18 octobre 2008)

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peut-être à vérifier en amont s'il n'y a pas quelque chose à trouver, pas sûr mais possible :
la 46ème année de vie n'est pas critique mais la 47ème l'est sérieusement (équivalent de P1 première année d'un nouveau cycle)
il faut dire que l'incarcération est une conditions très particulière qui se suffit à elle même pour créer des stress et des tensions.
mais encore :
" L'homme a été retrouvé vers 18 heures pendu dans une cellule du quartier disciplinaire, où il avait été placé dans la journée après avoir insulté le personnel et refusé de réintégrer sa cellule, a précisé Carlo Di Egidio, délégué régional de l'Union générale des syndicats pénitentiaires (UGSP-CGT).
Peu auparavant, des gardiens auraient entendu l'homme parler, en cette heure de distribution des repas où les allées et venues de gardiens sont fréquentes, a indiqué le représentant syndical."

insulte au personnel et refus de regagner sa cellule, et ... se parler à soi-même...
sont des symptômes de jour critique émotionnel : celui-là on le connaît et l'on peut donc tenir compte des risques particuliers liés à ce jour (dont l'envie suicidaire fait d'ailleurs partie)...
mais comme dit... il faut la date de naissance pour le vérifier.

drame

maville.com Fougères :
Une femme fait une chute mortelle du 4e étage

Jeudi soir, dans le quartier des Cotterets, une dame de 49 ans est morte en tombant du quatrième et dernier étage, à partir de son balcon qui donne sur la rue Saint-Lô.
Un drame s'est déroulé jeudi soir, rue Saint-Lô, dans le quartier des Cotterets. La police n'écarte aucune hypothèse. (Lire page 6)
Au 20, rue de Saint-Lô, face au centre de loisirs Alain-Fournier, ce vendredi matin, tout est calme. Rien ne laisse entrevoir que la veille, un drame humain s'est déroulé ici. Rien, sauf quelques traces de craie de couleur rouge au sol, réalisées par les enquêteurs et qui indiquent le point de chute du corps d'une femme de 49 ans, tombée du quatrième et dernier étage de l'immeuble, à partir de son balcon.

Que s'est-il réellement passé dans cet appartement où cette dame, mère de deux enfants, vivait seule, mais où, ce soir-là, un homme était présent ? Suicide, accident, homicide ? L'enquête de la police permettra, peut-être, de le déterminer à partir de témoignages et d'examens divers.
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vendredi 17 octobre 2008

drame familial

site 3ème oeil :
Assises du Bas-Rhin: l'ancien légiste condamné à 20 ans de réclusion pour le meurtre de sa femme
France > meurtre, suicide, armes, police scientifique, procès
Article posté par Stéphane Bourgoin le Vendredi 17 octobre 2008

" En dépit de ses constantes dénégations, le Dr Jean-Louis Muller, un ancien légiste de 52 ans, a été condamné jeudi à 20 ans de réclusion criminelle par la Cour d'assises du Bas-Rhin pour le meurtre de son épouse, tuée en 1999 d'une balle dans la tête au domicile conjugal.

A l'énoncé du verdict, conforme aux réquisitions de l'avocat général et prononcé au terme de 4 heures de délibéré, M. Muller a baissé la tête avant de fondre en larmes. Après avoir été réconforté par ses trois avocats, il a longuement pris dans ses bras le plus jeune de ses deux fils.

Tous convaincus de son innocence, ses proches étaient également en larmes. Un mandat de dépôt a également été prononcé à l'encontre du médecin qui comparaissait libre à son procès ouvert le 6 octobre dernier.

"Il y aura un deuxième procès d'ici un an", a aussitôt déclaré l'un de ses trois avocats Me François Saint-Pierre, qui a annoncé que l'appel serait déposé "dès ce soir", ainsi qu'une demande de mise en liberté devant la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Colmar qui dispose de deux mois pour statuer.

"Les preuves manquaient singulièrement et nous sommes profondément déçus de ce verdict", a-t-il ajouté.

Le soir du 8 novembre 1999, le corps de Brigitte Muller, documentaliste de 42 ans, avait été retrouvé au sous-sol du domicile conjugal d'Ingwiller, une balle dans la tête et le 357 Magnum de son époux à ses pieds.

Initialement, le dossier avait été classé comme suicide avant d'être rouvert au printemps 2000. Ancien expert inscrit près la Cour d'appel de Colmar, auteur d'une thèse sur "les effets des projectiles de petit calibre", Jean-Louis Muller avait été mis en examen en 2001 pour meurtre.

En 2007, au terme de plus de six ans d'instruction et 18 expertises et contre-expertises souvent contradictoires, le Dr Muller avait été renvoyé devant les assises, contre l'avis du parquet général.

Le Dr Muller, qui a toujours nié avoir tué sa femme, avait évoqué au début de l'instruction un complot avant de "rectifier le tir", selon ses propres termes, et de conclure au suicide de son épouse.

Cette thèse avait été vigoureusement combattue par les parents de la victime qui se remettait d'un grave accident et "remontait la pente". Après avoir rencontré un autre homme, elle envisageait également de quitter son époux.

Finalement, en dépit des charges répétées de la défense contre l'absence de preuves directes incriminant leur client, les jurés se sont rendus aux arguments de l'avocat général, Caroline Nisand, qui avait soutenu mercredi la culpabilité du médecin.

"Narcissique" et "impulsif", cet amateur d'armes à feu n'aurait pas accepté que sa femme le quitte. Il l'aurait tuée avec son 357 Magnum avant d'utiliser "ses connaissances d'expert pour maquiller le crime" et faire croire à un suicide, selon le scénario proposé par la magistrate.

"Nous avons un sentiment de soulagement", a indiqué l'un des avocats des proches de Brigitte Muller, Me Michael Wacquez. "La famille attendait une vérité (...) Elle a éclaté ce soir", a-t-il ajouté.

"Nous recherchions la vérité, les débats ont comblé les manques du dossier. Le verdict est pleinement justifié", a renchéri son collègue Me Marc Vialle.

Jeudi en début d'après-midi, avant que les jurés ne se retirent, Jean-Louis Muller leur avait lancé une ultime protestation d'innocence: "aujourd'hui, je répète que je n'ai pas tiré sur Brigitte (...) J'espère que vous achèverez le calvaire que l'on vit, moi, mes enfants et ma famille"."

Source : AFP (16 octobre 2008)

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j'avais retenu ce drame parce que Ingwiller n'est pas loin de chez moi...
alors meurtre ou suicide ? je n'en sais rien mais on pourrait déjà voir ce que dit la situation biorythmique du moment : elle est une sorte de "radiographie" du moment.

ainsi par exemple en cas de suicide il y a bien plus de chance de trouver, chez la victime :

- un jour critique émotionnel (l'intéressée est-elle native du mardi ? alors c'est oui...)
- une période critique septennale : à 42 ans c'est oui.
- la proximité de la date anniversaire : celle-là je ne la connais pas...

et pour l'auteur du supposé crime, il y a bien plus de chance que cela soit possible si l'on se trouve... ben là aussi dans l'un ou l'autre ou les trois éléments à la fois :

- jour critique émotionnel ? (seule la date de naissance permet de le déterminer : dans le cas présent M. Muller devrait être un natif du mardi)
- période critique septennale : à 43 ans (au moment des faits) on en est sorti tout juste, en principe mais ce n'est pas sûr - un petit doute là, que permettrait peut-être aussi de préciser la date de naissance. il faut envisager une éventuelle "compatibilité à risque"...
- proximité de la date anniversaire ? (sachant que ce peut être une période de dépression pour certaines personnes, ou une période de "drôles d'idées" suivies d'autant de passages aux actes)

à l'arbalète

L'Union-L'Ardennais :
Vendières / Tentative de suicide

L'arbalète en main

il s'arrête in extremis

Un homme de 35 ans, menaçant de se suicider avec son arbalète, a fini par revenir à la raison. Le coup aurait pu partir. Et la flèche transpercer son crâne. Plusieurs heures de dialogue ont tout de même permis à un trentenaire d'éviter d'aller jusqu'au bout, l'arbalète sous la gorge.
Mardi soir, vers 18 heures, l'homme, âgé de 35 ans se retranche à son domicile, dans un hameau de Vendières. Il menace de mettre fin à ses jours. Une séparation douloureuse est devenue insupportable.
Ses parents tentent de le résonner mais finissent par contacter les pompiers locaux. Ces derniers se rendent sur place. Les gendarmes de Charly-sur-Marne arrivent dans le même temps.
Il est alors barricadé à son domicile avec son chien. Muré dans son silence, l'homme refuse tout dialogue avec les autorités. L'intéressé menacera à plusieurs reprises d'appuyer sur la gâchette de son arme.
Le commandant de compagnie de la gendarmerie de Château-Thierry se déplace sur les lieux, pour tenter de rétablir le dialogue. Durant presque une heure, il parle presque dans le vide. L'intéressé finit par répondre. Mots par mots, phrase par phrase, il revient doucement à la raison.
L'homme, dont il s'agit de l'unique tentative de ce genre, consentira finalement à être hospitalisé. Vers 22 h 15, il est transporté sans incident jusqu'à Château-Thierry par les soldats du feu de Vieils-Maison.
L'arbalète, arme de sixième catégorie, a été saisie.

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une arbalète entre les mains d'un dépressif de 35ans... c'est risqué... les gendarmes semblent avoir eu la bonne réaction de "dialoguer" même dans le vide...
il serait très intéressant de connaître le jour critique émotionnel de l'intéressé, le comportement ayant apparemment "démarré" à 18H : le moment pile ou se termine une journée biorythmique et où l'on rentre dans la suivante. c'est en quelque sorte le moment à "risque maximum"...