dimanche 16 novembre 2008

noir désir

voici.fr :
Noir Désir : leur retour est très controversé
La polémique fait rage

Depuis l'annonce du retour du groupe de rock mené par Bertrand Cantat, la polémique n'en finit plus d'enfler.
Entre les fans et les détracteurs de Noir Désir, le débat est âpre depuis que le groupe a annoncé la sortie de deux nouveaux titres téléchargeables sur Internet.

Pourtant, Noir Désir a pris ses précautions. Conscients de la polémique que pouvait susciter leur come-back, ils se sont contentés d'un simple email pour prévenir les journalistes de la mise en ligne du nouveau site du groupe avec deux titres inédits, Gagnants/Perdants et le Temps de cerises, en téléchargement gratuit. Complétés par la publication d'un concert live acoustique datant de 2002 accessible sur noirdez.com.

Mais même chez les anciens fervents admirateurs du groupe bordelais, les avis ne sont pas unanimes quant au retour de Cantat sous les projecteurs.

Pourtant légalement, Bertrand Cantat est en droit de chanter. Le jugement du 15 octobre 2007 en effet ne fait aucunement mention d'une interdiction de la pratique de son métier, du moment que le chanteur ne fait pas état dans ses morceaux de l'affaire qui l'a mené en prison, ni n'évoque le nom de Marie Trintignant ou la relation qu'il entretenait avec l'actrice disparue. Et si la remise en liberté prématurée du leader de Noir Désir fait débat, le procureur de la République, Paul Michel, a expliqué que la libération conditionnelle de Bertrand Cantat "a été octroyée dans des conditions de stricte égalité par rapport aux autres détenus et en se conformant strictement à la loi".

Légal, peut être, mais pour beaucoup, Bertrand Cantat reste avant tout l'auteur d'actes violents et incompréhensibles qui ont coûtés la vie à Marie Trintignant. Son image en a été sacrément écornée et nombre sont ceux qui estiment son retour sur le devant de la scène musicale prématuré voire indécent.

J.D.

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apparemment un drame conjugal lié comme souvent à une période critique septennale d'au moins un des partenaires : Marie Trintignant se trouvait, au moment du drame, sans sa période critique septennale des 42 ans et était dans son jour critique émotionnel.

situations cycliques respectives le jour du drame le dimanche 27 juillet 2003 :

Bertrand Cantat né le jeudi 5 mars 1964 : i 1 (premier jour - critique - du cycle intellectuel qui pourrait avoir eu une incidence au niveau des réactions et comportements, s'agissant d'un "jour critique du cycle de la pensée") Cantat a 39 ans et 5 mois au moment du drame. (période neutre)


juillet 2003 (5/03/1964) (et non 5 avril comme dit Wikipédia)
Je 24 E(22)
Ve 25 P(12)
Sa 26
Di 27 I(1)
Lu 28
Ma 29
Me 30
Je 31 P(18) E(1)


Marie Trintignant est née le dimanche 21 janvier 1962 : native du dimanche elle se trouve dans son jour critique émotionnel le jour du drame. (E15) (elle entre dans son jour critique émotionnel le soir du 26 et le drame a lieu la nuit du 26 au 27)
elle se trouve aussi dans son jour critique physique P6, autre jour "pulsions", étant entrée samedi soir dans un épisode triplement critique.
et elle se trouve aussi, à 41 ans et 6 mois très précisément à l'entrée de sa période critique septennale des 42ans.
(l'entrée dans le jour critique émotionnel et l'entrée dans la période critique septennale constituent deux "pics émotionnels particulièrement à risque de tensions"... et ce sont de ce fait des éléments fréquemment présents chez l'un ou l'autre des partenaires d'un couple, parfois chez les deux, en cas de conflits et drames conjugaux, violences, séparations, etc...)

juillet 2003 (21/01/1962)
Me 23
Je 24
Ve 25
Sa 26
Di 27 P(6) E(15)
Lu 28 P(7) I(17)
Ma 29
Me 30
Je 31

édit 13/10/20917 : en 2008 date du post, je ne connaissais pas encore le rythme semestriel - sujet d'épisodes de pulsions : or ici les deux personnes s'y trouvent (5/7 mois de l'anniversaire pour Cantat et 6 mois de l'anniversaire pour Trintignant) donc éléments "à risque de tensions" supplémentaires.

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