jeudi 2 octobre 2008

quatre pendus... quatre périodes critiques

LaVoixduNord :
L'enquête a conclu au suicide collectif des Demeesterjeudi 02.10.2008, 04:56 - La Voix du Nord

Il y a un an, la France s'interrogeait sur le drame de Coulogne. Est-il possible que quatre membres d'une même famille se pendent le même soir, les uns à côté des autres ? Pour le parquet de Boulogne-sur-Mer, la réponse est oui. La famille Demeester s'est bel et bien suicidée un soir de septembre 2007. Ensemble.

Une pancarte « à vendre » vient d'être apposée sur la maison vide depuis un an. Dans ce quartier de Coulogne où la famille Demeester a toujours été très discrète, on est en train de tourner cette page dramatique ouverte le 27 septembre 2007.

La macabre découverte avait été faite par le voisinage. Dans la véranda de la famille Demeester, domiciliée allée des Frênes, quatre corps sont décrochés par les sapeurs-pompiers. Angélique, Marie-Christine, Olivier et René sont décédés. Une information judiciaire est ouverte et les policiers de Calais sont chargés de l'enquête. Leur but ? Déterminer les causes de la mort et aussi comprendre ce qui a bien pu amener une famille complète à en arriver là. Ils ne trouveront rien.

Selon Gérald Lesigne, procureur de la République, la conclusion de l'enquête n'est autre qu'un suicide. Sans mobile. « Nous avons fait toutes les investigations. Et rien n'explique ce geste désespéré. » Il a été question un temps des problèmes financiers du fils. « Ce n'est pas suffisant pour expliquer que le reste de la famille suive le pas. » Les analyses toxicologiques n'ont rien donné. Le médecin légiste confirme que la famille Demeester est morte par pendaison simultanée « et que personne ne les a accrochés de force ou après leur avoir donné la mort ».

Restait le mystère de la lettre dont le procureur de la République tirait une seule phrase qu'il livrait à l'époque à la presse : « Pardon, on a trop déconné... » Toute l'affaire médiatique reposait sur cette citation. Pourquoi ? Comment ? Qui ? Et au final, rien. « C'est la mère qui a rédigé cette lettre. Les études le démontrent », explique le procureur. « On pense que l'ensemble de la famille était sous l'influence du père. Ce qui est étrange, c'est qu'il n'y a pas de mobile. » Il n'y aura pas de suites « à ce projet suicidaire longuement mûri ». •
L.R.

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quatre pendus... quatre périodes critiques...

ce que les experts n'ont apparemment pas vu, normal, puisqu'ils ignorent les cycles dont je parle.

- le père se trouvait à 55 ans passés dans sa 56ème année de vie et c'est à 55 ans et demi environ que démarre la période critique septennale du cycle psychique et émotionnel. (elle dure jusqu'au 57ème anniversaire et si tout va bien s'arrête là jusqu'à la suivante)
Je pense que c'est entre autre pour cela qu'il se faisait soigner pour dépression.
- la mère se trouvait à 55 ans passés exactement dans la même situation que le père.
- la fille se trouvait à 27 ans passés exactement dans la même situation que les deux précédents.(sa période critique septennale à elle va de 27 ans et demi à l'anniversaire de 29 ans.)

- le fils si né le jeudi 20 octobre 1977 aurait 30 ans le 20 octobre 2007. Il est le seul des quatre à ne pas être dans une période critique de son cycle septennal, MAIS la 30ème année de vie est une année critique physique (cycle sextennal pouvant conduire grosso modo aux mêmes effets que le cycle septennal)
Cependant d'autres éléments importants sont à retenir :
- la faillite de son entreprise et éventuellement la perte d'une importante somme d'argent ;
- le fait qu'il soit apparemment soigné - comme son père - pour dépression.
- la proximité de sa date anniversaire.(les semaines qui précédent peuvent être période de dépression)
- si né le jeudi 20/10/1977 (à confirmer car les données du net ne sont pas toujours fiables)
le jeudi est son jour critique émotionnel, et celui-ci démarre la veille au soir aux alentours de 18H. Or le suicide collectif semble avoir eu lieu mercredi.


or ce qu'il faut savoir c'est que tous les points cités sont des points positifs çàd qui parlent en faveur d'un "risque de passage à l'acte suicidaire" si on est dans un état gravement dépressif. Et on trouve chez ce groupe de personne une étrange coïncidence, un ensemble de conditions qui font qu'elles étaient toutes les quatre en "situation de risque". Cela a pu et a probablement provoqué un accord et le geste collectif. Les quatre personnes "penchaient" à ce moment précisément, psychologiquement dans le même sens : le mauvais...

L'entrée dans une période critique septennale ou dans un jour critique émotionnel entraîne à elle seule ou accentue chez certaines personnes prédisposées ou à risque, cette dépression, de sorte que la décision et le passage à l'acte vont être facilités...
Cette période entraîne aussi une vision d'hypertrophiée de choses somme toute pas bien graves, et cela peut très bien conduire à un accord pour dire "on a trop déconné"...

Rappelons que selon cette théorie :

- l'entrée dans une période critique septennale est un moment critique pour les personnes fragiles. Cette entrée a lieu toujours environ six mois avant l'anniversaire d'un multiple de la table de sept. Il s'agit d'un cycle du psychique et de l'émotion de sept ans, et cette période critique revient donc tous les sept ans.

Coïncidence ici : trois personnes sur les quatre s'y trouvent.

- l'entrée dans un jour critique émotionnel est un moment critique aussi : là il s'agit d'un cyle de 7 jours donc chaque 7ème jour nous passons par un moment critique dangereux pour des personnes fragilisées.

coïncidence ici : la quatrième personne se trouve dans cette autre situation à risque.

la particularité d'un drame lié à une situation de période critique... c'est qu'on n'a pas forcément besoin de mobile. c'est un peu comme si "çà allait de soi"... on est dans un "état second".
nous avons à faire ici à un exemple, dramatique, de ce que peut donner une compatibilité septennale...

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